1. 20 ans après


    Datte: 02/12/2018, Catégories: fh, grp, frousses, rousseurs, extraoffre, inconnu, alliance, poilu(e)s, bain, forêt, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... aptitudes intéressantes, et je suis très fière de mon élève qui a beaucoup progressé entre mes bras et ceux de quelques-unes de mes compagnes.
    — On en revient à l’éducation sexuelle nécessaire pour que les hommes et les femmes puissent s’épanouir sexuellement. Comme dans l’Antiquité où un citoyen et un jeune homme, appelé à le devenir, avaient une relation sexuelle. Ces relations avaient avant tout un rôle éducatif : l’homme plus âgé devait tout faire pour former le jeune homme, pour en faire un citoyen respectable et accompli. Les jeunes Romains faisaient aussi leur apprentissage avec des prostituées. Là encore, évoluons : donnons-leur la possibilité d’apprendre sans passer par des rapports sexuels tarifés.
    — Je suis totalement d’accord avec toi, mon chéri. Je n’étais pas la seule, dans la communauté : plusieurs jeunes filles et de jeunes garçons ont eu droit à des dépucelages réussis par moi-même ou d’autres membres plus âgés. Cela a été le cas avec les enfants de membres venus avec eux nous rejoindre ou nés au sein de la communauté. Ton fils par exemple, sa première relation sexuelle, c’est avec une fille qui avait deux fois son âge. Elle lui a fait découvrir les plaisirs de la chair.
    
    Cette fois-ci, c’est Emmanuelle qui joue avec la verge de son amant, sans branle ni fellation. Elle caresse doucement le phallus et y pose de doux baisers. Il se gonfle légèrement. Elle le soulève pour poser les lèvres sur la peau fripée des bourses. Tout en continuant cet ouvrage, elle ...
    ... continue son récit :
    
    — Puis, il y a trois ans, nous avons ouvert le gîte sans qu’il soit naturiste, avec accueil de marcheurs, de vététistes et de cavaliers. Avec un des guides cavaliers, j’ai eu une relation : en saison, je baisais avec lui une fois par semaine lorsqu’il passait avec ses clients ; et hors saison, il passait quelques jours ici ou alors j’allais chez lui. C’était un chaud lapin, et il me chevauchait aussi bien que ses chevaux. Je ne pense pas être la seule à avoir été sautée sur le parcours où il emmenait ses clients, mais cela n’était pas un problème… Dis, je te raconte cela, mais tu n’éprouves pas de jalousie ?
    — Pas du tout, ma chérie ; je n’éprouvais pas de jalousie du temps où nous étions hippies. D’ailleurs, je crois que le mot n’existait pas à l’époque, ou du moins il était proscrit. Alors, comment pourrais-je être jaloux de la vie sexuelle de mon amour en mon absence ? Cela n’aurait aucun sens.
    
    Disant cela, Jacques plonge sa figure dans la touffe de poils surmontant le sexe d’Emmanuelle, tout en laissant libre accès à son phallus. Il respire la toison aux odeurs suaves, musquées et acides des sécrétions sexuelles. Bientôt sa langue vient fouiller la vulve qui s’ouvre d’elle-même. Il joue avec le clitoris qui s’érige tel une minuscule verge, avec les grandes et les petites lèvres ; il introduit la langue à l’entrée du con. Il va plus loin en visitant le sillon fessier jusqu’à l’orifice anal qu’il titille de la langue avant d’y introduire un doigt ...
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