1. AU BORD DU LAC 8/8


    Datte: 01/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... et qu’avec le temps et ta transformation, il m’était apparu comme une évidence. »
    
    Nous étions alanguis sur ce lit, méditant ce que l’autre disait.
    
    « Ce qui est une évidence, aussi, c’est ce que je sens contre mon dos ; » ajouta t’elle en riant
    
    Elle se leva, et se tourna pour regarder ma queue qui reprenait de la vigueur.
    
    « Allez, il faut que j’aille bosser » me dit elle « une petite douche, et on y va. »
    
    Je la retrouvai sous la douche,et utilisant le gel douche qu’elle avait apporté, je la savonnai de la tête aux pieds, glissant mes mains dans les moindres recoins, investissant ses orifices de mes doigts fouisseurs. Elle me rendit la politesse, en insistant sur mon braquemard qui se dressait maintenant entre nous. Finalement, elle s’accouda au mur de la douche, tendant son cul vers moi.
    
    « Prends moi, qu’on en finisse. » souffla t’elle résignée
    
    Sous l’eau tiède qui ruisselait, sa résignation se transforma très vite en furie, son derrière s’agitant pour venir au devant de ma bite, mon pubis claquant contre ses fesses , dans le clapot humide de l’eau mélée de ses sécretions. Elle joua de ses muscles internes, et, saisit mes couilles entre ses jambes, les pressant, les tirant en avant, jusqu’à ce que je ne puisse plus tenir. Elle se retourna face à moi, et m’embrassa voluptueusement en continuant à astiquer mon manche. Je lâchai plusieurs giclées qui éclaboussèrent son ventre, et elle accompagna cette explosion de « allez ! encore, donne ! » sa main secouant ...
    ... ma qeue jusqu’à la dernière goutte.
    
    Un quart d’heure plus tard, nous sortions de la maison, et j’allais la déposer à l’agence. Je l’observai quand elle marcha dans la rue, élégante et fine sur ses hauts talons. Qui aurait pu croire que la même femme pouvait être un tel volcan.
    
    Eric filait le parfait amour avec Crystelle, quand elle était rendue libre par son travail, et passait le reste de son temps, à la plage, toujours à l’affut d’une donzelle à conquérir. Il avait tenté sa chance auprès de Sylvie, mais la sauvageonne l’avait rembarré vertement.
    
    Je poursuivai Océane de mes assiduités mais elle soufflait le chaud et le froid, me donnat des signes de détente, aussitôt suivi de rebuffades. Heureusement, j’avais Déborah.
    
    Le lendemain, j’arrivais au village à midi passées. L’agence était fermée, mais elle était là. Elle vint m’ouvrir et referma derrière moi, m’expliquant, qu’ainsi elle avait la paix pendant deux heures, même quand elle grignotait sur place. Pour l’instant c’était autre chose que je voulais grignoter. Je l’embrassai goulument et elle me rendit mon baiser avec passion. Je la poussai contre son bureau, et la caressai, d’abord sur ses vêtements, puis je fis glisser mes mains sous sa robe, la remontant jusqu’à trouver l’élastique de sa culotte que je tirai d’un coup vers le bas. Elle serra les jambes trop tard, le bout de tissu coincé entre ses genoux.
    
    « Non, pas ici » implora t’elle « on pourrait nous voir
    
    Je jetai un œil vers la vitrine, occultée ...
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