1. Un homme que j'aime


    Datte: 12/02/2018, Catégories: fh, grossexe, fête, amour, cérébral, revede, pénétratio, tutu, confession, Auteur: Alineasixty, Source: Revebebe

    ... retrouve coincée entre le mur et lui. Il me colle à la paroi et cette fois je ne peux lui échapper, il m’embrasse, pour la première fois, passionnément, il prend mon visage entre ses mains et enfonce sa langue dure et douce à la fois dans ma bouche. Ce baiser me fait défaillir, c’est tellement bon. Je sens son sexe en érection contre mon ventre, c’est très chaud, j’ai l’impression qu’il va me prendre debout contre le mur, là, tout de suite. Ses mains s’activent sous ma robe, elles sont partout sur mes fesses, sur mon ventre, entre mes cuisses de plus en plus trempées, aussi brûlantes que sa bouche. Cet homme est un démon (ses yeux verts le prouvent), il me communique son désir, je le veux en moi, il bande avec une force incroyable, c’est moi qui lui fait cet effet-là ?
    
    Il quitte ma bouche pour mon cou, il m’embrasse encore, me mordille, gémit dans une langue bizarre, ni italien ni français.
    
    — Dis-moi oui, dis-moi que tu as aussi envie de moiAmore, regarde ce que je deviens à cause de toi !
    
    J’ai envie de rire de sa tournure de phrase, je lui rends ses baisers, j’ai décidé de céder. Je le laisse me dévêtir entièrement, m’allonger sur le lit. Je lui arrache plus que je ne lui enlève son caleçon et découvre ébahie ce que sentai à l’instant contre mon corps. Il est très gros, oui vraiment, pourtant j’ai connu des hommes, mais là, j’ai peur d’avoir mal. Il perçoit mon trouble, me rassure :
    
    — N’aie pas peur, je vais te donner du plaisir, tu n’auras pas mal, je vais te ...
    ... combler, je veux te faire crier mais de plaisir seulement.
    
    C’est l’instant fatidique, la toute première fois entre nous, il est allongé sur moi, en appui sur ses avant-bras, il me regarde intensément, ses yeux plus verts que jamais, je prends son visage entre mes mains, nous nous embrassons encore. Je sens son sexe tendu à l’extrême prêt à m’investir, c’est moi qui dois commencer… « Je ne ferai rien que tu ne veuilles… »
    
    — Viens, mon amour, pénètre-moi.
    
    Les mots sont sortis tous seuls de ma bouche, tu es tellement heureux, Luigi, tu souris en fermant les yeux et tu entres enfin en moi. Je suis très excitée, très mouillée et pourtant je te sens si fort, tu t’enfonces le plus doucement possible, jusqu’au bout, tout au fond. C’est magique, je ressens déjà du plaisir, sans même que tu aies commencé à aller et venir. Je te donne le signal, mes reins se creusent, et tu bouges, doucement d’abord mais tu es puissant, tes coups de reins se font coups de boutoir, j’ai envie de crier mais je ne veux pas alerter toute la maison, je me retiens, toi aussi, c’est tellement intense, c’est ça le bonheur ?
    
    C’était un rêve cette nuit, mais un rêve prémonitoire, c’est bien toi qui me faisait l’amour, je ressens la même fièvre, je crois bien que je suis amoureuse. Tu avais raison : tu me combles, nous ne faisons qu’un dans la jouissance qui s’annonce, j’oublie tout, je t’ai trouvé moi aussi. Je m’envole très haut, tu expulses de longs jets de sperme brûlant tout au fond de mon ventre. ...
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