1. Un homme que j'aime


    Datte: 12/02/2018, Catégories: fh, grossexe, fête, amour, cérébral, revede, pénétratio, tutu, confession, Auteur: Alineasixty, Source: Revebebe

    ... comme des fous cette nuit. Graziella m’en a déjà parlé, c’est la fusion entre eux. Ils ont de la chance. Et le beau Luigi, il doit dormir aussi, sur le canapé. Soudain, une main se pose sur ma hanche et me fait sursauter. Je me retourne prestement : je n’en reviens pas : c’est lui, il dort comme un bébé. J’ai d’abord envie de le virer de là puis je me laisse aller à la contemplation : il est par-dessus le drap, en caleçon, sa poitrine se soulève régulièrement, il a l’air de dormir vraiment. Ses cheveux bouclés sont un peu emmêlés, j’ai envie d’y plonger mes doigts mais je me retiens. Son corps est beau lui aussi, musclé à point, il est vraiment craquant. Mais comment a-t-il pu se glisser dans le lit sans que je m’en aperçoive ? Ah oui, j’étais un peu soûle c’est vrai, je n’ai rien entendu.
    
    Je ne sais pas quoi faire maintenant, sa main chauffe mon corps à travers le drap. Je repense au rêve. Et si ce n’en était pas un ? M’a-t-il vraiment fait l’amour ? Je glisse ma main entre mes cuisses, tout doucement pour ne pas le réveiller. Je suis mouillée. Que s’est-il passé ?
    
    C’est à ce moment-là qu’il s’étire et ouvre les yeux sur moi. Il sourit. La balle est dans son camp. Il devine mon embarras, je remonte le drap. Il sourit toujours :
    
    — C’est un peu tard pour tirer le drap, jeune fille, je t’ai vue toute nue quand je suis venu me coucher près de toi, le canapé du salon était trop inconfortable. Tu dormais si bien. Le drap était par terre, non, tu n’as vraiment rien à ...
    ... cacher ! Ne t’inquiète pas, je t’ai recouverte tout de suite.
    
    Je rougis jusqu’aux oreilles, je n’ose même plus le regarder et je ne sais pas quoi dire.
    
    — Non, nous n’avons rien fait non plus, n’aie pas peur, je ne t’aurais pas prise à ton insu, ce n’est pas mon genre.
    
    Je suis soulagée bien qu’encore gênée. Nous voilà tous les deux dans un lit, nus ou presque. Que faire ? La situation est quand même excitante. Il me plait, ça c’est sûr, mais c’est le frère de mon amie, ce n’est pas un coup d’un soir, je ne sais pas quoi penser. Il m’observe attentivement pendant ce temps, un demi-sourire aux lèvres.
    
    — Je dois te dire, j’ai très envie de t’embrasser, me dit-il, et de te faire l’amour aussi, j’ai senti la chaleur de ton corps contre le mien toute la nuit, c’était si bon. Mais je ne ferai rien que tu ne veuilles, c’est toi qui décides.
    
    Et là, je fais quelque chose d’impensable, au lieu de me lover dans ses bras et de me donner enfin à lui, je lui dis :
    
    — Retourne-toi, il faut que je me lève.
    
    Il ne sourit plus, mais plus du tout. Il se retourne. Je m’habille vite en le surveillant du coin de l’œil.
    
    — Je suis désolée Luigi, il faut que j’y aille.
    
    Il se lève d’un bond, je ne peux m’empêcher de constater la tension évidente de son caleçon, il m’attrape les poignets comme hier soir et me lance :
    
    — Non Isabella, ne pars pas, reste avec moi, je ne peux pas te laisser partir comme ça. Maintenant je t’ai trouvée !
    
    La pièce est petite, je recule et je me ...
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