Solenn, Philippe, les cerfs-volants et la tarte aux pommes
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
couple,
couplus,
inconnu,
vacances,
plage,
douche,
revede,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
portrait,
occasion,
extraconj,
Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe
... de nos échanges de salive. Puis sans réfléchir :
— Ça me donne faim, le plaisir !
— Ouvre la bouche que je te fasse goûter à la tarte aux pommes.
Une, puis deux bouchées.
— Uhmmm, que c’est bon.
— Profite et laisse-toi tenter quand tu en as envie.
— C’est ce que j’ai bien l’intention de faire maintenant. Je me prive depuis trop longtemps.
Et je croque une fois de plus dans le dessert.
— Pour un homme, si j’ai bien compris.
— Oui !
— J’ai connu ça avec ma sœur. Elle a fini par le quitter.
— Je ne sais pas encore ce que je vais faire dimanche en rentrant.
— Tu restes là jusqu’à la fin du festival alors. Où loges-tu ?
Je n’ai pas envie de lui dire que je n’ai rien d’autre que la plage pour cette nuit, ou ma voiture, au pire. Alors j’élude :
— En face de la mer.
— Nous, nous avons des chambres au « Cottage des dunes » à deux cents mètres. C’est un centre d’hébergement pour les groupes.
— Super ! Alors on va se croiser quelques jours.
— Surtout si on ne se quitte pas !
Je me crispe. Il me répond avec hésitation :
— T’inquiète pas, je te taquine.
— Dommage, je t’ai cru et je me suis raidie une seconde en m’imaginant folle de le vouloir.
Ma réponse est spontanée. Sa réaction aussi : un baiser passionné ! Puis il prend un air sérieux.
— Viens dans ma chambre.
— Oui !
—oooOooo—
Tout va si vite, mais j’aime ça. Dans la rue nous nous tenons par la taille. Un peu plus loin, on tourne à droite puis nous arrivons au rond-point. C’est là ! ...
... Nous traversons vite fait le hall, échangeons un baiser doux dans l’ascenseur, puis au bout du couloir au troisième étage, sa chambre. J’enlève mon blouson.
Sa main tremble pour ouvrir la porte quand je lui jette :
— Je veux tout vivre !
— Moi aussi !
Il referme la porte du pied, tourne la clé. Nous faisons valdinguer nos chaussures à coups de talons en nous embrassant. Nos sacs tombent à terre. Je lâche mon blouson pour entourer son cou de mes bras. Il m’attrape par les cuisses et me soulève de terre. Il me colle dos au mur, j’accroche mes cuisses à sa taille. Nous nous embrassons comme des fous. Il titube légèrement, je lui demande le lit. Il m’emmène et nous basculons tous les deux sur le couchage d’une personne.
Je suis sur le dos, les jambes écartées et il me couvre. Nos sexes se compriment l’un sur l’autre. Malgré nos pantalons, je réalise à quel point il bande. Impressionnant de sentir sa protubérance si bien gonflée, même s’il ne me semble pas monté avec un pieu à défoncer le fond de mon vagin. C’est tant mieux ! Je préfère qu’il rentre tout son membre et que je sente ses couilles s’écraser sur mes fesses. Je n’aime pas la souffrance et je ne suis pas dilatable à l’infini. Nous sommes normaux quoi ! Et je ne fantasme pas sur les bites disproportionnées.
Tout m’excite en lui et venant de lui. À ses baisers torrides, je réponds comme une lionne ronronnante et diablement féline : un petit coup de griffes sur sa nuque sans faire vraiment mal, sans laisser ...