1. Solenn, Philippe, les cerfs-volants et la tarte aux pommes


    Datte: 30/11/2018, Catégories: fh, fhhh, couple, couplus, inconnu, vacances, plage, douche, revede, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, exercice, portrait, occasion, extraconj, Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe

    ... transporter.
    — Vous pouvez compter sur nous, affirme Domi. Et si on en profitait pour nous entraîner, les gars. La compète c’est pour samedi soir. Avec le peu de vent et ce clair de lune, c’est l’idéal. Et puis comme ça les amoureux, on va pouvoir accourir si vous voulez un coup de main !
    — N’est-ce pas Solenn ? Renchérit un des hommes avec un sourire taquin.
    — Uhmmmm, bonne idée, dit un autre, l’air songeur. Solenn, tu peux compter sur mes mains aussi et me demander tout ce que tu veux. J’exaucerai tous tes désirs.
    
    Je suis songeuse… toutes ces mains… sur moi… Je repense à notre discussion sur ce sujet et je ne reste pas insensible. Oh que je suis de mauvaise foi ! Vilaine fille ! En fait je suis tentée, j’imagine des plaisirs, mon corps abandonné. Vivre un fantasme, oui… j’ai bien envie.
    
    — Messieurs, si Philippe souffle dans son didgeridoo, vous viendriez ?
    
    « Oui ! » : Réponse unanime. Il suffira que j’ajoute le mien, si j’y arrive…
    
    —oooOooo—
    
    Il ne nous a pas fallu longtemps pour faire un aller-retour de ma voiture à la plage et de tout installer dans un coin tranquille et légèrement abrité. Ils ont même ramassé du bois sec et fait trois petits feux de camps tout autour pour nous réchauffer. Le murmure de l’eau est apaisant, les flammèches dansent et crépitent. C’est un petit bout de bonheur. Je suis si bien ici avec Philippe. Un« au revoir », un« À tout à l’heure… peut-être », et bientôt nous ne voyons plus les silhouettes des hommes qui s’éloignent ...
    ... pour rejoindre le secteur des entraînements.
    
    Philippe installe le grand duvet sur le sable, il fait si bon. La fermeture éclair glisse pour emballer nos amours. Le sable prend la forme de mon dos et reçoit mon abandon. Philippe se colle à moi, allongé sur le côté, la tête sur sa main.
    
    Ses caresses me font vibrer. Sur les joues, comme c’est agréable, puis le bout de son doigt trace des sillons sur mon cou. Je bascule ma tête en arrière. Gestes sensuels… divins. De tout mon corps je dis oui. Mille fois oui aux habits qui me quittent un par un sous les doigts agiles de mon amant. Mille fois oui à sa main sur mes seins. Vas-y Philippe, palpe-les, ils sont gorgés de vie, malaxe mes bouts durcis entre deux doigts pour qu’ils pointent encore plus. Ma peau veloutée n’attend que ta bouche et mes mamelons réclament tes lèvres. Je me cambre pour lui offrir ma poitrine ronde et ferme pour accompagner mes pensées. J’implore.
    
    Mais non, pas tout de suite…
    
    — Pourquoi ?
    — Le supplice de l’attente est infiniment bon.
    
    Je vibre, je frémis d’impatience. Puis une décharge électrique me parcourt tout entière du bas des reins jusque dans la nuque quand il me frôle un sein, puis l’autre, avec ses cheveux poivres et sel. Les mèches sauvages me caressent longuement et ma féminité se réveille. J’ondule doucement, chaque parcelle de mon corps s’aventure sur le chemin du plaisir et je m’enhardis, je vais au-devant de ses effleurements. Il continue le jeu. Un murmure, un soupir. Sa chevelure ...
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