1. Jeudi libre


    Datte: 30/11/2018, Catégories: fh, fplusag, vengeance, chantage, Oral pénétratio, fsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... j’arrive.
    
    Le lit bouge à nouveau. Je sens une présence. Il est de retour. Il me parle.
    
    — Voilà, Cornélius est avec nous. Il te regarde et ses yeux brillent. Il enlève sa chemise. Oh tu devrais voir son torse puissant ! Maintenant le pantalon. Il n’a pas de slip. Son sexe est déjà en forme. Tu l’inspires. Sa tige est longue. Son gland est aussi sombre que le reste. Il me fait signe qu’il veut que tu le suces.
    
    Le lit bouge. Soudain je sens sur mes lèvres une masse de chair. L’odeur est moins forte que je ne craignais. Pascal a dû avoir la délicatesse de se nettoyer sommairement de ma mouille et de son sperme. J’accepte l’offrande de ce bâton de chair. Ouvrir ma bouche pour le recevoir me semble une évidence. Annie qui aime les sucettes, c’est moi. Mais je fais plus que sucer et lécher. Mon amant pousse son mandrin long et dur, plus long et plus dur que mes yeux n’avaient vues. Miracle de la suggestion et de ce bandeau qui, rendant aveugle, laisse l’esprit vagabonder et imaginer des choses. Je regrette et j’ai peur de ne pouvoir satisfaire mon amant en n’acceptant qu’une partie de sa queue. Mes mains savent que le principal reste à l’extérieur. Mais malgré tous mes efforts je ne peux…
    
    Mais je peux tout de même. Je sais que les hommes, mon mari Thomas m’en a maintes fois fait la démonstration, aiment prendre une femme en levrette. Moi, c’est une chose que je peux faire. Mieux, que j’aime bien.
    
    Si Pascal est privé de sa fellation, il comprend, alors que je me ...
    ... place à quatre pattes, la tête dans le drap, que je l’autorise à d’autres plaisirs. Son sexe ne tarde pas à m’envahir. Miracle de la nuit, tout paraît amplifié et disproportionné. J’ai l’impression que son mandrin est une tige sans fin et qu’elle pourrait ressortir par ma gorge. Enfin, la queue est en place. Enfin mon amant me baise. Ce n’est plus le Pascal de la première fois. C’est un autre homme, plus rude, plus envahissant. Mais je ne me plains pas. Au contraire, la possession m’excite. Miracle encore de l’imagination. Finalement l’auteur du bouquin savait de quoi elle parlait et le film en est la consécration. Ne pas voir permet toutes les audaces. Après tout le plaisir est dans le cerveau…
    
    Il me baise et j’aime. J’aime sa façon de ne pas se retenir. Sa façon de se servir de moi comme d’un vagin pour son plaisir. Mais il ne peut m’empêcher de jouir. Jouir, encore et encore, alors que la queue se promène en moi.
    
    Je ne sais pas ce qui me prend ! Le désir soudain de faire comme on le lit ou on le voit dans certains films ? Le désir de transgresser l’espace d’un instant tous les tabous et les plaisirs interdits.
    
    Le geste est obscène. L’idée est abjecte. Mais je le fais.
    
    — Encule-moi, j’entends dire par la femme qui est déjà dans une position de totale soumission.
    
    Je suis une raisonneuse ! Il faut toujours que je justifie tout. Aussi, même dans cette situation si particulière je m’entends ajouter.
    
    — Encule-moi. Je n’ai jamais autorisé mon mari pour ce chemin. ...
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