1. Alicia et son papa (8)


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... piqûres sont douloureuses ou ils s’en fichent. Je vais probablement saigner, la peau est si fine et si fragile à cet endroit. Si j’ai le choix, je préfère sur les cuisses, c’est évident. Mais ai-je le choix ? Ce n’est pas sûr, papa fait toujours ce qu’il veut ; maintenant, il me demande mon avis, je dois le lui en donner..
    
    — Euh...Je préférerais sur les cuisses, mais c’est à vous de décider, Monsieur.
    
    — Bonne réponse. Mais je vais accéder à ton souhait, Doc va te donner la punition à ma place, vingt coups de ceinture.
    
    — Mais...
    
    Je m’interrompis avant d’aller plus loin. Papa avait parlé de dix coups seulement, et maintenant j’avais droit à vingt sans raison, sinon son propre plaisir et celui de faire plaisir à son ami.
    
    — Tu as un problème ? interrogea mon père. Non ? Tant mieux ; je fais cadeau à Doc de dix coups de plus qu’annoncés dans la voiture, tâche de les recevoir dignement.
    
    — Pose les pieds sur les étriers, ordonna le médecin. Je vais pouvoir frapper l’intérieur des cuisses, là où ça fait vraiment mal. Sinon, ce ne serait pas une punition, n’est-ce pas ?
    
    Je me sentais piégée, mais ce n’était pas comme si j’avais eu le choix à un moment ou un autre. Je plaçai donc mes pieds bien calés dans les étriers, écartant largement les jambes et offrant ainsi la surface de la tendre ...
    ... peau convoitée par le docteur. Je me crispai dès qu’il leva le bras, m’attendant à souffrir. Le premier coup, pas très violent, m’arracha un cri de gorge que je contins, mais les suivants, plus puissants, firent couler des larmes sur mes joues.
    
    L’homme alterna, passant de la cuisse gauche à la droite, marquant la peau de brûlantes bandes rouges et gonflées. A la fin, je pleurais comme une madeleine ; j’eus le plus grand mal à me redresser tant mes jambes tremblaient, et papa m’aida à enfiler ma robe. En reniflant, je pris congé du médecin et suivis mon père. Nous rentrâmes directement dans un silence qui me permit de réfléchir à mon sort.
    
    Tu es nulle, Ali. Tu as voulu rendre service à ton père, et maintenant, que deviens-tu ? Papa a fait de toi son esclave sexuelle, ton patron veut que tu sois sa putain, il envisage de te donner à des inconnus, après t’avoir offerte à ses gardes. Et quoi encore ? Tu portes deux gros godes en permanence, ta poitrine fait l’objet d’un traitement pour te transformer en vache laitière, ou presque...Où sont passés tes rêves de jeunes filles, le prince charmant, deux ou trois enfants, une maison, un chien, un chat ?
    
    Je soupirai en songeant à ce qui m’attendait. Une pipe en rentrant, c’était sûr. Et une sodomie un peu plus tard, si papa faisait comme d’habitude. 
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