1. Alicia et son papa (8)


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Papa attendit que j’aie refermé la porte d’entrée et que je me sois agenouillée devant lui, en position d’attente : cuisses écartées à quatre-vingt-dix degrés, fesses sur les talons, dos droit, mains posées sur les genoux, paumes vers le haut.
    
    — Monsieur Rodriguez n’est pas très content de toi, Ali. Tu suces mal, et tes orifices sont trop étroits. Il trouve aussi que tes seins sont trop petits. Pour tes seins, nous partons voir un toubib dans dix minutes. Pour tes orifices, tu vas porter ce qui vient de nous être livré. Voyons ça...
    
    Il ouvrit le paquet en carton et en sortit divers objets que je ne pouvais distinguer de ma position. Puis, il me montra un objet noir qu’il étira à deux mains, cela ressemblait à un short taillé dans un tissu épais.
    
    — En premier lieu, une culotte en néoprène, l’entrejambe renforcé en métal dispose de deux fixations. Et sur ces fixations, on met... deux godes ! Regarde ceux-là, un pour ton cul, un pour ta chatte.
    
    Il me montrait à présent deux gros cylindres de plastique identiques, le bout, effilé, mais la base épaisse. Allait-il enfoncer ces trucs dans mon ventre ? En même temps ?
    
    Cinq minutes après, c’était fait. Pour mon anus, comme je portais auparavant le plug, mes muscles ont accepté assez facilement ce nouvel intrus. Pour mon vagin, un peu de lubrifiant a été nécessaire. La culotte noire épousait mes formes étroitement et maintenait les deux solides godes profondément enfoncés. Une armature métallique intégrée comme une ...
    ... ceinture la rendait inamovible, d’autant qu’un cadenas la fermait sur mes reins.
    
    J’étais atrocement gênée pour marcher ou pour m’asseoir. Le trop long gode dans mon vagin forçait en permanence au fond et occasionnait un élancement persistant. Mais il fallait partir ; je passai une robe d’été au thème fleuri et montai dans la voiture. Mon père démarra, non sans avoir remarqué mon rictus de souffrance en m’asseyant.
    
    — Tu as mal ?
    
    — Oui Monsieur, répondis-je en boudant.
    
    — Rappelle-moi de te punir de dix solides coups. Je n’aime pas la manière dont tu m’as répondu. En attendant, sors ma bite et suce-moi, mais je ne veux pas jouir.
    
    Vexée d’être si transparente, consternée à l’annonce d’une nouvelle punition, je me le tins pour dit. Je passai le trajet, pliée en deux, m’activant de mon mieux sur la colonne de chair de mon conducteur. Je ne la prenais pas très loin, mais la suçai avec application, attentive à ravaler ma salive qui s’écoulait parfois. Surtout quand le gland appuyait sur ma luette. Papa ne me parla pas, sauf pour me prévenir d’arrêter, car nous étions arrivés. Je refermai donc son pantalon et me redressai.
    
    Nous sommes entrés dans une maison sans aucun signe indiquant qu’elle abritait un cabinet médical. Un sexagénaire rubicond nous reçut aussitôt dans une pièce blanche ressemblant à un petit laboratoire ; il serra la main de papa et m’adressa juste un regard méprisant.
    
    — Bonjour, Arnaud. J’ai reçu un coup de téléphone de Monsieur Rodriguez concernant ...
«123»