1. Alicia et son papa (8)


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... une petite jeune. Je n’avais pas réalisé que c’était ta fille. Elle est obéissante ?
    
    — Pas encore, mais j’y travaille. Je vais devoir la punir une nouvelle fois tellement elle est pénible.
    
    — Ah ! Les jeunes, répondit le gros docteur d’une voix nettement plus froide. Si tu veux, tu peux la punir ici. Toi, déshabille-toi, vite. Je ne devrais même pas avoir à te le dire.
    
    Oppressée, je déboutonnai rapidement ma robe et la posai sur le dossier d’une chaise, puis me redressai, bras ballants. Je ne cherchais même pas à masquer ma poitrine ; sans doute parce que j’étais devant un médecin, ou un présumé tel.
    
    — Comme tu vois, expliqua mon père, Alicia porte une culotte en néoprène renforcée ; Monsieur Rodriguez l’a trouvée trop étroite et elle a dans ses orifices deux godes de bon calibre.
    
    — L’idéal est qu’elle les garde le plus longtemps possible, suggéra le médecin.
    
    — Exactement ; j’ai déjà à la maison une paire de godes plus épais et plus longs, pour dans quelques jours. Bon, que peux-tu faire pour sa poitrine ?
    
    — Le plus simple, c’est de placer des implants en silicone. Mais c’est souvent médiocre au toucher. Il y a aussi le lipofilling, on réinjecte dans les seins de la graisse prélevée ailleurs. Effet correct, à condition d’avoir suffisamment de matière à prélever ailleurs. Dans le cas de ta fille, c’est non. Restent les hormones, des œstrogènes principalement. Tu prends une pilule contraceptive ?
    
    — Oui, de l’Adépal.
    
    Je ne vis pas venir la gifle que ...
    ... m’envoya papa, mais je partis en arrière et faillis tomber sous sa violence. La joue droite en feu, j’éclatai en sanglots, plus d’humiliation que de douleur.
    
    — Tu vois comme elle est impolie ?
    
    — Oui, affirma le médecin. Elle a vraiment besoin d’être dressée ! Sa pilule est une deuxième génération, dans ce cas il ne faut pas s’attendre à un résultat extraordinaire avec un traitement hormonal classique. Personnellement, j’aime sa poitrine comme elle est : bien ronde, ferme et aux bouts roses et pointus qui défieront les années. Maintenant, s’il veut plus gros, je peux lui faire des injections répétées d’hormones style œstrogène et prolactine. On devrait sûrement gagner une bonne taille de bonnets.
    
    — Oui, vas-y, décida papa. Tu sais comment est monsieur Rodriguez quand il veut quelque chose.
    
    — Bon, c’est parti, alors.
    
    Le Doc m’installa sur un fauteuil gynécologique avant de s’affairer. Je fis la grimace quand le médecin, vrai ou non, fit des injections dans mes seins, double dose dans chacun, expliqua-t-il. Le liquide semblait pâteux et il fallait du temps pour l’injecter. Puis papa enleva sa ceinture, attentif à ma réaction. Je retenais mes larmes sous la douleur lancinante dans ma poitrine.
    
    — On ne va pas pouvoir te fesser, alors ce sera sur les cuisses ou le dos. Qu’en penses-tu ?
    
    Résignée, je baissai la tête, désemparée, tentant d’appréhender la situation.
    
    Sur les seins ? Ça doit être horrible, non ? Ils me font mal, ils ne se rendent pas compte que les ...