La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.
Datte: 29/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... rapidement des points communs : la cuisine et les fleurs.
J’ai remarqué en effet que vous étiez assez complices, ce qui m’a surpris, connaissant ma belle-mère.
Je suis assez douée pour mener une conversation. Au bout d’une demi-heure, nous avions accroché, Quelques personnes sont venues pour parler à Geneviève mais elle a toujours repris le fil avec moi.
Oui, oui, je m’en suis rendu compte
Ah ! Tu nous surveillais ?
Tu m’avais dis ton projet, alors je voulais voir comment ça se passait. Je vous regardais de temps en temps, de loin.
A la sortie de la réunion, on a discuté un peu plus sur le parking et on s’est promis de se revoir. Je ne l’ai pas lâchée comme ça et je lui ai proposé de passer le lendemain après midi pour voir une plante qui m’intéressait. Elle n’a pas refusé.
De retour chez moi je me suis branlée comme une folle. Plusieurs fois on s’était frôlées, me provoquant des frissons, en partant je n’avais pas osé l’embrasser – au moins chastement, sur les joues – et je le regrettais, mais je redoutais tellement de me découvrir que j’y allais à tout petits pas.
Le lendemain après-midi donc, je me présentais chez elle et elle m’a reçue plutôt chaleureusement, me proposant un thé. Nous sommes ensuite passées au jardin. J’avais pris soin la veille de me renseigner sur quelques plantes, pour avoir l’air d’une passionnée d’horticulture. Pendant plus d’une heure nous nous sommes penchées sur des massifs, elle répondait à mes questions, me donnait ...
... des boutures. Je dois dire que je trouvais le temps long, mais je parvenais parfois à la toucher, prétextant un mauvais équilibre, ou un outil à échanger. Je voyais la peau de ses bras et de ses cuisses, je sentais son odeur, j’étais sur un nuage. Je mouillais comme une folle. Le moindre frôlement me mettait en transes. Je lorgnais sa poitrine, ses fesses, ses lèvres...
Au moment du départ, pour la remercier, je l’ai embrassée sur les joues vivement en lui prenant les mains. Elle est restée figée. Je me suis enfuie plus que je ne suis partie. Je devais être rouge comme une pivoine, j’ai entendu comme dans un brouillard « revenez quand vous voulez »
Je me suis retenue de revenir le lendemain alors que j’en mourrais d’envie.
Trois jours plus tard, j’osais enfin me représenter. Alors que je lui tendais la main, elle me rétorqua
Nous nous sommes embrassées l’autre jour, vous ne voulez plus ?
Oh oui, bien sûr ! Rougissant comme une collégienne. Notre étreinte, même brève, était plus appuyée et me procurait des picotements dans le dos… et plus bas dans le ventre. J'étais déjà inondée !
Une fois encore nous avons pris le thé, puis papoté comme de vieilles amies.
Dans l’échancrure de son chemisier j’apercevais la naissance de ses seins que j’imaginais gros et sensibles. Je ne pouvais pas soupçonner encore combien c’était vrai.
Le temps a passé si vite, alors qu’en sortant je me rendais compte que plus de deux heures s’étaient écoulées.
« Revenez vite ! Me ...