1. La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... baisiez, vous n’êtes pas le seul à baiser votre belle-mère, mais, je ne sais pas comment lui faire comprendre qu’elle me plait, si vous m’aidez, je ne dirai rien sur vos … relations ! Il me serait facile de faire partir une rumeur, mais je n'en ai pas envie.
    
    Puisque nous en sommes aux confidences, je vous dirais que depuis mon mariage, cette femme n’est plus ma maîtresse. Ce jour là était d’ailleurs le dernier où nous avons eu des relations sexuelles. Par expérience, pour fendre sa cuirasse, il faut des conditions particulières et je ne sais pas si lui rouler une pelle en lui portant son courrier, est une bonne méthode pour la conquérir. N’ayant plus de rapport de ce genre avec elle, je vois mal comment faire pour vous aider.
    
    Vous pourriez me présenter, lui suggérer que…
    
    Elle n’acceptera pas à froid, l’idée qu’une femme l’ait touchée ou ne la touche.
    
    Ecoutez, je ne vous demande pas de me la mettre dans les bras ou dans le lit, mais ouvrez-moi une porte et je tenterai ma chance. Ensuite, advienne que pourra. Il faudrait qu’au moins, j’ai un petit moment pour parler avec elle en dehors du travail.
    
    Je vous promets de vous aider.
    
    C'est vrai ? Merci !
    
    Tu me remercieras peut-être si tu parviens à tes fins.
    
    Juré !
    
    Quelques temps plus tard, l’occasion se présente lors d’une réunion.
    
    Geneviève et la factrice sont présentes. A la fin, un pot est offert par l’organisation et je discute avec Geneviève, lorsque la demoiselle s’approche de nous. Je la sens ...
    ... nerveuse, aussi après les présentations d’usage, j’essaie d’établir entre elles, une conversation plus légère. Peu à peu les deux femmes se trouvent des points communs. Bizarrement, Geneviève se laisse aller à parler plus que d’habitude. Le courant semble passer entre elles. Je m’éloigne, les laissant seules. Leur aparté dure. Je les observe à la dérobée tout en discutant avec d’autres personnes. Plusieurs fois, des interlocuteurs viennent saluer ma belle-mère, mais cela n’empêche pas les deux femmes de reprendre leur échange ensuite.
    
    Un peu plus d’un mois plus tard, alors que j’ai un peu oublié l’histoire, la factrice m’apporte du courrier.
    
    « Tu es seul ? Demande-t-elle
    
    Oui, pourquoi ?
    
    Je viens te remercier
    
    Ah oui, pourquoi ?
    
    Tu le sais bien ! Ta belle-mère.
    
    Tu as conclu ?
    
    Oui !
    
    Eh bien ! Tu es une sacrée coquine toi ! Il faut que tu me racontes !
    
    Là pour le moment, je n’ai pas le temps mais je peux revenir cet après midi.
    
    Ok ! Je t’attends, pas de problème. »
    
    Il est un peu plus de quinze heures, lorsqu’elle réapparaît. La demoiselle a changé de tenue est ma foi, est plutôt sexy sans son uniforme habituel.
    
    Après avoir pris un café, Ludivine, elle m’a appris son prénom, commence son récit.
    
    « Merci d’abord de m’avoir permis d’amorcer la conversation. Tout à l’heure, je voudrais te remercier de façon plus… «profonde » mais puisque tu veux tout savoir espèce de vicieux, tu vas te régaler ! Le jour où tu nous as présentées, je nous ai trouvé ...
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