1. La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... femme. Nos baisers seront chastes, mais permettez moi de temps en temps d’admirer vos formes.
    
    A condition que cela soit discret et je ne vous autorise bien sûr aucun geste déplacé !
    
    Je vous promets de ne pas trop vous serrer en vous faisant la bise ! »
    
    Et nous tiendrons nos promesses, et n’aurons plus aucun rapport sexuel entre nous, durant toute la durée de mon mariage !
    
    Le jour du mariage donc, comme promis quand j’embrasse la mariée après le consentement devant monsieur le maire, je me tourne vers Geneviève. Elle est écarlate et nous sommes les seuls à savoir que son émotion est doublée par le souvenir de notre passage à Toulouse. Plus tard, pendant l’apéritif dansant, comme il est de tradition je danse avec celle qui vient de devenir officiellement ma belle-mère. Le contact de son corps provoque une érection involontaire que ma partenaire ressent aussitôt. Malgré ses dires, elle ne se retire pas et m’adresse un regard malicieux.
    
    Durant la soirée, nous nous retrouvons à discuter avec la cousine Madeleine chez qui nous avions passé quelques jours. Après avoir parlé d’un petit peu de tout, elle nous glisse :
    
    « Je vous ai vus tout à l’heure danser ensemble. Vous alliez très bien, je vous trouve très mignons, mais restez discrets malgré tout !
    
    Mais… Nous… marmonne Geneviève
    
    Ttt Ttt Ttt rétorque la cousine. Vous savez, lors de votre passage, vous avez laissé quelques traces ne m’ont laissé aucun doute sur vos relations. Je suis contente pour toi ...
    ... Geneviève. Je n’approuve ni ne désapprouve, vous êtes de grandes personnes, mais je ne voudrais pas qu’il y ait un drame.
    
    Vous êtes charmante dis-je ». Geneviève, elle, est plutôt gênée d’avoir été découverte. « J’espère que l’on ne vous a pas trop choquée. Sachez que nous avons décidé de cesser nos relations « coupables » à compter d’aujourd’hui.
    
    Vous ne m’avez pas choquée, même si … en vous regardant…
    
    Ah bon ? Parce que vous nous avez espionnés ?
    
    Ben… Le premier soir, en vous voyant, je me suis doutée de quelque chose.
    
    J’ai même pensé au début que vous n’étiez pas vraiment le futur gendre, mais simplement son amant. Je ne sais si vous vous êtes rendu compte, mais le lendemain, quand j’ai appelé votre beau-père, je n’ai pas signalé votre présence avec Geneviève. Vous savez je suis une vieille femme, et j’ai tout de même vécu. Il y a des signes qui ne trompent pas un œil averti. J’étais très heureuse de voir enfin ma cousine Geneviève paraissant heureuse. C’est pour ça que j’ai insisté pour vous garder. Vous êtes partis rapidement vous coucher sous un faux prétexte. Ce ne sont pas deux cent cinquante kilomètres de route qui fatiguent un jeune homme comme vous. Après un moment je me suis approchée du cottage et je vous ai entendus. Par un interstice des volets j’ai pu vous observer quand vous étiez devant la cheminée. Vous étiez très beaux ! Malheureusement ensuite vous êtes partis dans la chambre.»
    
    Nous rions maintenant tous les trois, heureux de notre complicité. ...
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