1. La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... femme tu serais devenue gouine ? De toute façon, c’est toi qui t’es fait bouffer la chatte donc, même si c’était une femme, tu ne serais pas une gouine. J’ai plutôt l’impression que ça t’exciterais de savoir qu’une femme t’as donné du plaisir. non ?
    
    Chaque fois tu te poseras des questions. C’est lui ? C’est elle ? Moi je saurai. Alors, dis-moi. Tu aurais aimé que ce soit une femme ?
    
    Vous n’y pensez pas… Vous êtes un grand malade ! Vous êtes un monstre et moi… je … Enfin… Oui !
    
    Tu vois que tu es une salope pour laquelle seul compte le plaisir ! Tu as envie de faire l’amour avec une femme ? Je veux dire, en toute connaissance.
    
    Mais non voyons !
    
    Tu as répondu trop vite. Je suis sûr que tu en as envie
    
    Vous êtes un monstre !
    
    J’ai donc raison, chaque fois que tu dis ça, c’est que tu te rends compte que c’est vrai. Tu veux que je te trouve une femme ?
    
    Vous êtes un sale vicieux ! Pas question !
    
    Bien ! Tant pis pour toi ! En attendant, prépare ton cul de salope, parce il me reste à t’enculer !
    
    Ne parlez pas comme ça s’il vous plaît
    
    Mais il me plaît et il te plait aussi que je te parle comme Ça et que je te traite de salope. A genoux vieille pute, donne-moi ton cul que je le remplisse de mon foutre ! »
    
    Sans plus se faire prier, Geneviève se met en position. Je ne résiste pas à l’envie de la fesser. Malgré ses cris et protestations, je rougis son postérieur opulent sous de faibles gémissements de douleur se transformant comme d’habitude en ...
    ... gémissements de plaisir et par la demande pressante de ma belle-mère de la pénétrer.
    
    Aujourd’hui étant une occasion spéciale, je prolonge la fessée pour qu’elle cuise un peu plus longtemps. L’effet induit est un orgasme violent de Geneviève qui arrose le lit. Sans plus attendre alors, je me place derrière elle et guidant ma queue, j’encule ma bientôt belle-mère !
    
    La saillie dure longtemps. D’une part, j’ai déjà éjaculé il n’y a pas longtemps. D’autre part, sachant que c’est la dernière fois que je la baise, je veux faire durer ce moment. J’arrête fréquemment de limer ma partenaire.
    
    Pas d’inquiétude pour elle, car, non seulement Geneviève jouit aussi bien du cul que du vagin, mais la salope se caresse aussi d’une main sur son bourgeon.
    
    Les meilleures choses ayant une fin, je m’épanche dans le rectum de Geneviève et nous nous écroulons sur le lit, ou plutôt dans l’alèse trempée de son plaisir.
    
    Après quelques ablutions bien nécessaires, nous refaisons le lit, nettoyons l’alèse et, rhabillés correctement, nous nous retrouvons autour de la table de la salle à manger.
    
    « Tu es bien consciente que tu n’auras plus ces plaisirs ?
    
    Oui, je le sais, mais je dois le faire.
    
    Je respecterai ton désir et regretterai de ne plus voir tes tétons, et de te bouffer la chatte pour boire ta délicieuse jute.
    
    Arrêtez ! Ne parlez plus de ça ! Nous devons maintenant avoir des rapports normaux !
    
    Bien belle-maman, à partir de tout de suite, vous n’êtes plus que la mère de ma future ...
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