1. La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... d'accès à la tête de ma maîtresse qui lape mon suc abondant. Sous l'action de sa langue et de ses doigts qui ont investi mon antre, je me liquéfie et laisse éclater mon plaisir dans sa bouche.
    
    Contente de son œuvre, Geneviève se relève, le sourire aux lèvres et vient m'embrasser. Ses lèvres sont couvertes de mon jus que nous partageons goulument.
    
    Sachant que le voyeur doit toujours roder, je reste en éveil, mais il a disparu.
    
    La chaleur baisse, il est plus de seize heures, aussi nous regagnons la plage. Cette fois, sans hésiter, Geneviève se met nue. Elle prend plaisir à cet état. Aussitôt nous partons dans l’eau rafraîchissante. Sous prétexte de ne pas savoir nager, Geneviève s’agrippe à moi à la moindre occasion, m’enlace et m’embrasse en jouant comme une enfant, à la différence que ses caresses ne sont pas si innocentes.La marée descend et nos allers et retours sur le sable s’allonge. Geneviève
    
    n’est plus du tout gênée de s’exhiber nue dans une attitude qui montre à tous notre relation homosexuelle. C’est elle qui me prend la taille et se tourne vers moi pour un baiser sur les lèvres.
    
    Lors d’un retour, alors que nous nous sommes embrassées fougueusement au bord de l’eau en sortant, deux hommes assis côte à côte nous regardent avec un grand sourire. Ils sont entièrement bronzés et glabres et arborent tous deux une magnifique érection.
    
    Arrivées sur nos serviettes je dis en riant :
    
    « Ma chérie, vous faites même bander les homos !
    
    Vous croyez ...
    ... que…
    
    Regardez, ils s’embrassent ! »
    
    Effectivement, les deux hommes échangent un baiser. L’un d’eux a sa main entre les jambes de l’autre.
    
    La plage se vide peu à peu vers dix huit heures. Il fait si bon que nous restons jusqu'après que le soleil se soit caché à l'horizon. Nous n'avons pas envie de quitter ce bon moment. Nous faisons de fréquentes baignades, restant parfois allongées au bord de l'eau qui, au gré des vagues, vient recouvrir les jambes et chatouiller la chatte parfois. C'est l'étale. Les couleurs sont chatoyantes. Parfois, un promeneur passe près de nous et Geneviève n'y prête plus attention.
    
    Malgré tout, avec regret, nous quittons la plage. Geneviève n'a même plus envie de se rhabiller et attend la limite autorisée pour enfiler une robe légère sur son corps nu. Elle a vite pris goût à la nudité.
    
    Le retour se fait lentement, nous avons envie de prolonger ce moment et c'est à la nuit que nous arrivons chez elle.
    
    « Voudriez-vous rester avec moi ce soir ? Demande-t-elle
    
    Vous voulez dire cette nuit ma chérie ?
    
    Oui ! J'ai envie de vous ! Je crois que... Je vous aime !
    
    Oh ! Ma chérie ! Moi aussi, je vous aime !
    
    C'est vrai ? Oh que je suis heureuse ! Je n'ai jamais aimé comme Ça ! En plus c'est avec une femme ! Peu m'importe ! Je vous aime !! »
    
    Cette déclaration nous précipite dans les bras l'une de l'autre pour un baiser passionné qui dure... Heureusement, il n'y a personne à la maison.
    
    En entrant, nous trouvons sur la table, un mot de son ...