La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.
Datte: 29/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... paraissent encore plus gros, ce qui attire bien sur mes mains et bientôt mes lèvres sur sa peau granuleuse.
Dans l’eau, Geneviève se sent plus à l’aise. Protégée des regards, mais aussi, portée par l’eau salée, nous rions en nous caressant. Nous nous embrassons. Bref Geneviève retrouve son âme d’enfant.
Plusieurs fois nous allons faire l’aller et retour pour nous rafraîchir mais aussi pour nous exhiber ce que ne redoute plus ma partenaire. A un moment, alors que nous sommes enlacées dans l’eau, elle me glisse « Je vous aime !»
J’en suis toute retournée. Cette femme de la noblesse, si prude, honorable mère de famille, femme du monde, bonne catholique pratiquante, est en train de s’ébattre nue dans l’océan et de déclarer son amour à une autre femme ! Je la sens émue de sa déclaration, comme si elle lui avait échappée.
Il est bientôt treize heures. Il commence à faire chaud sur le sable, aussi nous décidons de nous replier dans la forêt pour déjeuner et profiter de l’ombre. Il sera bien temps de revenir quand le soleil sera moins fort.
Nous redescendons la dune après nous être rhabillées et trouvons un coin agréable sous les pins, pas très loin de la voiture. Le pique nique est agréable. Geneviève parle de cette nouvelle expérience qu’elle adore déjà, même si la honte s’en mêle un peu. Elle se traite de folle et me reproche gentiment de la pervertir par des pratiques que la morale réprouve. Elle est maintenant décontractée. Seules dans la nature au milieu de la ...
... forêt c’est comme un havre de paix qui nous entoure. Étendues sur un plaid, nous savourons ce moment de calme, même si, enlacées, nous échangeons caresses et baisers.
Nous allons rester un bon moment sous les ombrages afin de profiter de la fraîcheur des sous bois. Geneviève s'endort. Je la regarde un long moment.
J’admire le corps de cette femme qui s’abandonne. Je m’étonne encore qu’elle soit mon amante. Je suis heureuse et je mouille mais je sombre moi aussi et m’endors à ses côtés. La peur de se faire surprendre nous a fait rester en maillot. Seules nos mains glissées sous les culottes trahissent nos envies lubriques.
Je suis réveillée par les lèvres de Geneviève qui est venue y déposer un baiser. Je l’enlace et nous nous roulons une pelle effrénée. Nos mains courent sur la peau de l’autre à la recherche des points sensibles. Nous oublions que nous sommes dans la nature et que n’importe qui pourrait nous surprendre. Néanmoins, après avoir rangé nos affaires alors que nous allons repartir, Geneviève me glisse à l’oreille :
« J’ai envie… De vous lécher…
Ma chérie ! C’est si gentiment demandé ! Je ne peux vous refuser ce plaisir !»
Je m’appuie contre un arbre. Elle s’agenouille, repousse ma culotte sur le côté et sa langue se faufile dans ma fente. A une dizaine de mètres de nous, dans les fougères, j'aperçois un homme qui nous matte. Je n'en dis rien à Geneviève et fais signe à notre voyeur de ne pas faire de bruit. Je relève une jambe et donne ainsi plus ...