-
P atronne et putain
Datte: 29/11/2018, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... moment-là nous n'entendîmes des pas sur le gravier. Quelqu’un approchait. La garce eût continué qui n'avait pas peur d'un intrus mais moi couard je me levais du coup et m'enfuis. Elle m'en tint rigueur le reste du séjour. Je sais qu’elle coucha comme pour se venger avec un de mes cousins, voyou notoire. A ce récit ma patronne releva opportunément le détail que sans l'irruption de l'intrus je me serais laissé tripoter sans fin. >> >> >> >> >> >> >> Penaud j'en dus en convenir. Donc j'étais coquin et demandeur autant qu'un autre. Ma tante bonne personne somme toute était allée ce jour-là au-devant de mes désirs. Ma patronne démêlait habilement l’écheveau de mes sentiments et de mes sensations. Je n'étais pas l'insolite et le monstre que je croyais. Il fallait m'accoucher à moi-même. A cet instant elle releva significativement sa cuisse. Elle fit en sorte que je pus examiner à loisir son bas et la naissance de celui-ci où affleurait une chair blanche, belle et grasse. J'eus aussitôt une érection violente, irrépressible. >> >> >> >> >> >> Elle dut deviner manifestement cela car elle sourit. Elle écartât ensuite ses cuisses pour que je vis sa culotte rose. Façon de dire qu’elle avait elle une culotte. Non pas comme ma tante. Enfin elle ajouta de vive voix : « Je ne supporterais pas que des pas sur le gravier vous fasse fuir. » J'eus un sourire en forme d'assentiment. Non je ne m'enfuirais pas du moins avec elle. ...
... J'attendais d'apprendre. J'attendais la première leçon. Elle ne tarda guère. Le surlendemain elle prétexta qu'elle devrait ramener de la grande ville un lourd objet et que je pouvais l'accompagner à cet effet. >> >> >> >> >> >> J'étais moins angoissé que concentré sur cette nouvelle situation. On eût dit un enfant à sa première communion. Je ne voulais pas décevoir. J'avais confiance en elle de toute façon. Sagement assis à ses côté set regardant au loin sur la route je n'osais regarder de même ses cuisses. L’habitacle de l'auto était saturé de son fort parfum. Je soutenais tant bien que mal la conversation. Elle me crut désemparée. Elle me demanda avec un demi-sourire : »ça va ? » Je répondis que oui. Que je n'avais jamais été si heureux. Cette réponse banale et spontanée gagna à la rendre heureuse elle-même. >> >> >> >> >> >> >> Aussi rangea-t-elle peu loin la voiture sur le bas-côté de la route. Je perçus qu'elle avait tourné la tête et m'observait. J'étais effrayé de croiser son regard dont je percevais l'intensité. Enfin me prenant par la main le menton elle imprima à ma tête, un simple demi-tour. Ses lèvres s'écrasant sur les miennes. Elles étaient douces et chaudes. Les miennes cédèrent peu après. Sa langue vint se marier à la mienne. S'enroulant l'une dans l'autre. J'entrais dès ce jour-là dans son intimité infernale. Il y eût un abîme et après une pluie d'étoiles. Je passais de l'Enfer au Paradis. Baptisé pour ...