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P atronne et putain
Datte: 29/11/2018, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
J'ai bossé deux ans en coursier dans une charmante PME de Seine et marne. J'ai du ce premier emploi au papa. Le paternel m'a toujours mis le pied à l'étrier. Je lui dois une fière chandelle. Il maugréait que j'étais dans les jupes de ma mère. Qu'il devait d'une manière ou d’une autre combattre cette indolence. Je pris mal cela au début. Au bout du compte je m'y suis retrouvé. Il m'a offert quelque répit dans la vie avant que je ne vole par la suite de mes propres ailes. Bref je conserve un souvenir ému de cette époque. Il m'est triste de passer devant ce portail à présent fermé. >> Le patron de la boîte était copain de régiment du papa. Lors d'une conversation avec celui-ci au bistrot il crut devoir lui proposer d'embaucher son fainéant de fils. Outre de dépanner il voyait loin. Homme bon et indulgent il spéculait qu'un jour je me réveillerais et ferais de grandes choses. Il trouvait injuste qu'on condamnât trop vite la jeunesse. Mon père entra dans ses raisons. Surtout il trouva une aubaine que quelqu'un voulut bien de moi. N'empêche ne sachant rien faire de mes dix doigts on se rabattit sur cette idée que je pourrais faire des courses et rendre service à tout le monde. >> >> >> >> >> >> A ce titre on m'offrit un scooter flambant neuf. En ce temps j'avais l'âme bohème. Je n'aimais rien tant que de rouler au hasard des champs. Je me perdais en songeries. Celles-ci ne finissaient pas en vers comme Rimbaud. J'étais le plus souvent amoureux. Objet facile ...
... aux perfides et gueuses alentour. Assurément il fallait me fixer et me déniaiser un peu. Ma mère trouva trop dangereux et notamment pour l'hiver que je fis chaque jour le chemin aller-retour au bureau. On s’arrêtât à l’idée d'un studio à deux pas du boulot. Mon père trouva bon que cela m'éloigna un peu de ma mère. >> >> >> >> >> >> >> J'eus du mal à faire un peu mon trou. Les ouvriers me moquaient souvent. Du moins fut-ce au début. Je compris par la suite qu'il s'agissait du premier temps de l'initiation et de l'adoubement. Je n'étais pas prétentieux. Je ne convoitais de prendre la place à personne. J'étais plutôt du genre bon compagnon. J'aimais rendre service. Bref je me fis adopter de tous. Le patron trouva finalement qu'il avait eu une bonne idée. En effet je ne rechignais à aucune course qu'il pleuve ou qu'il vente. Il comprit qu'un poste sédentaire m'eût tué. J'avais sans cesse des fourmis dans les jambes. >> >> >> >> >> >> Le premier jour j'avais été impressionné par la patronne. Une forte et belle femme brune. Elle dégageait une autorité des plus naturelles. Son mari ne prenait aucune décision sans obtenir son assentiment. Ainsi aurait-elle pu s'opposer à mon embauche. Bien plus tard sus-je que mon père avait été un de ses zélés amants. Je pus moi-même apprécier qu’elle était une garce. Elle gueusait partout. Son mari savait qui ne disait rien. Il eût été inconsolable qu'elle le quittât. Elle se contentait de ce pouvoir et de cet ...