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P atronne et putain
Datte: 29/11/2018, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... ascendant et de pouvoir s'épanouir en ses caprices et fantaisies. >> >> >> >> >> Encore aujourd'hui j'aurais quelque mal à la décrire. Elle approchait alors l'âge funeste des cinquante ans pour une femme. Elle avait manifestement été une beauté ravageuse à vingt ans. Sa croupe s'était alourdie, ses formes arrondies. On salivait sur des seins lourds qu'elle tachait d'afficher. Ses traits de visage qui pouvaient passer pour anodins trahissaient au contraire un air décidé et volontaire au travers du gris des yeux. Elle était le plus souvent sobrement mise. Bien maquillée. Elle n'en portait pas moins court sa jupe ou sa robe. Elle avait la jambe magnifique. >> >> >> >> >> >> D'ailleurs je me souviens exactement de la première fois où lui et elle me reçurent en leur bureau. Lui pontifiant m'exposait tout le détail des missions auxquels on me vouerait. Elle, assise peu loin en son dos dans un fauteuil avait croisé très haut ses cuisses balançant au bout du pied si joli,un escarpin noir. Elle semblait ainsi battre la mesure d'une symphonie imaginaire. Un sourire barrait son visage. De cette façon elle me manifestait que tout cela n’était que jeu, parodie d’autorité. Que son mari ne décidait rien. Qu’elle seule déterminerait au quotidien mes emplois. >> >> >> >> >> >> Elle put ce même jour vérifier que je n'étais pas moins que les autres rétif à son charme et à sa sensualité. En ce temps les femmes mûres m'indisposaient. ...
... L'impudicité et la vulgarité de quelques-unes m'avaient pour le coup traumatisé. Je m'étais réfugié dans le giron de garces plus jeunes lesquelles pour autant ne m'avait rien apporté. Mon instinct me dit que cette femme pourrait être cette bonne fée qui disposerait enfin des clefs du royaume des sens et du plaisir. Nous nous comprîmes d'un seul regard. Elle eût pu me dédaigner. Elle crut en moi. Une première pour moi. >> >> >> >> >> >> Pour une fois je tins à ne pas décevoir un adulte. Je fis maints efforts et progrès. Le patron prit cela pour lui. Cette imbécile ne comprit pas qu'il devait cet exploit à sa jolie femme. Celle-ci chaque matin me convoquait aux aurores. Nous définissions ensemble la feuille de route. Peu à peu en effet elle voulut que j'y participe activement. Elle faisait appel à mon sens critique. Elle voulait que je m'améliorât. Que je fis des propositions. Avec elle je crus dans mes capacités. Je pris de l’assurance. Elle n'en attendait pas moins de moi. J'étais fier qu'elle fut fière de moi. Tout avançait. >> >> >> >> >> >> Très vite en devins-je entiché et amoureux. Je n’avais guère vu venir cela. Cette révélation éclatât de façon fort triste quand je sus sans ambages qu'elle avait un amant au moins dans l'usine. Un jeune italien, beau gosse avec lequel elle disparaissait une heure dans une remise près des camions. Les autres rigolaient. Cela se faisait à l'insu du patron absent qui devait savoir. Certains allaient coller leur ...