Une asiat en club libertin (4)
Datte: 28/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: kalistao, Source: Xstory
... saluer alors que je me faisais secouer violemment, me demandais si j’aimais ce qui se passait autour de moi. La voix entrecoupée de soubresauts causés par les coups de butoir que je recevais, je répondis par l’affirmative.
En tournant la tête je devinai que la pièce se remplissait doucement. Peu à peu, je vis des hommes prendre place, commencer à se désaper. Les sexes durs se dressèrent autour de moi.
Les hommes se motivèrent, firent des compliments sur mon anatomie, et rapidement tous les hommes eurent la main sur leur sexe et se masturbèrent. Je ne voulais pas compter mais je pensais qu’il y avait au moins quinze mâles en rut autour de moi.
Hector déposa sur un tabouret non loin de moi un récipient avec des préservatifs en veux-tu en voilà, du gel intime, j’allais prendre cher, mais a priori en toute sécurité, lol...
On me détacha, et on me rattacha, mais cette fois on aurait dit que j’allais me faire prendre par-derrière. Les débuts furent difficiles, les gars y allaient doucement, puis la cadence augmenta. Je sentais le gel couler le long de mes cuisses, mon sphincter n’ayant plus la capacité de le retenir. J’entendais les hommes s’invectiver pour avoir la jouissance de m’enculer. A mes oreilles, on me susurra : « tu la sens ma queue, espèce de petite pute », « tu encaisses grave, salope », je vais te repeindre après » et j’en passe. Je notai en passant qu’Hector aimait toujours autant la photo... Je sentais la compétition entre mecs, c’était à celui qui me ...
... ferait hurler le plus, ou à celui qui irait le plus fort dans mon cul.
Je pense m’être fait prendre ainsi pendant vingt minutes. On me détacha, je pouvais voir le visage de tous ces hommes qui venaient de me prendre. Mon fondement était anesthésié, j’y passais la main, j’aurais pu y rentrer le poing.
Hector posa son reflex, s’approcha de moi avec un instrument que je n’ai jamais vu. Il me dit que c’était un bâillon bouche ouverte. Je ne connaissais pas mais je devinais. Il m’aida à le mettre en place. Il précisa que je ne devrais avaler que lorsqu’il me le demanderait.
On eut la délicatesse de poser un coussin au sol pour mes genoux, puis l’un après l’autre les sexes se vidèrent de tout le plaisir engrangé dans ma bouche, certains jets furent si violents qu’ils atterrirent sur mon visage car mal contrôlés. L’odeur âcre de tout ce sperme envahit mes narines. On fit une pause pour que j’avale, le liquide menaçant de déborder. Il y en avait encore assez pour me remplir la bouche une seconde fois. Hector lui-même se vida en moi, reprit aussi sec son reflex. Je me demandai si certains n’étaient pas passés deux fois dans ma bouche... Peu importait ; je me rendis compte que j’aimais de plus en plus avaler du sperme. J’aimais surtout leur regard plein de jouissance lorsque je déglutissais, et le goût ne me rebutait plus comme les premières fois.
Puis comme tout a une fin, la pièce se vida, Joël partit. Resta Hector et moi, je lui fis part de ma surprise de ne pas avoir vu ...