1. Une asiat en club libertin (4)


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: kalistao, Source: Xstory

    ... déranger, je cherche à rentrer à Bordeaux, je sais que cela peut paraître étrange mais je suis seule et je suis coincée ici.
    
    Que répondre à cela, à part : « vous m’inquiétez, comment avez-vous pu vous retrouver seule ici ? », ce qu’il dit évidemment. Je ne savais pas du tout comment enchaîner sur le laïus que m’avait pondu Hector, et il dut voir ma confusion. Je réussis à dire simplement : « je suis ici parce que mon maître l’a voulu. »
    
    — Votre maître ?
    
    — Oui.
    
    — Je ne comprends pas.
    
    — Mon maître... m’a déposé ici et m’a demandé de trouver quelqu’un pour me ramener à Bordeaux.
    
    — J’ai du mal à comprendre... Pourquoi a-t-il fait ça ?
    
    — Pour parfaire mon éducation, dis-je la tête basse.
    
    — Votre éducation...
    
    — Pouvez-vous me ramener à Bordeaux ? lui demandais-je timidement.
    
    — Oui demain matin si vous voulez
    
    — J’ai besoin de rentrer ce soir.
    
    Ressentant trop de honte à lui dire le reste, j’enlevais les mains de mes poches, et naturellement mon manteau s’écarta, laissant apparaître la vue sur ma micro-jupe, mon haut transparent et derrière mon soutien-gorge rouge.
    
    L’homme comprit tout de suite ou je voulais en venir.
    
    — Et si je t’amène, finit-il par dire, que m’offres-tu en échange ?
    
    — Ce que vous voulez, lui répondis-je.
    
    — Monte avec moi pour voir si nous pouvons nous mettre d’accord, dit-il avec un sourire.
    
    Je montais à sa suite dans le camion. Je fus étonné de rentrer dans une cabine aussi spacieuse. Il semblait y avoir en plus ...
    ... une chambre derrière moi, un rideau était tiré. Je lui donnais rapidement la lettre d’Hector qu’il ouvrit. Il la parcourut puis déclara : « c’est notre jour de chance ce soir. Fred, appela-t-il, viens voir ce qui nous arrive !! »
    
    J’entendis bouger derrière moi, le rideau s’ouvrit sur un homme d’une trentaine d’années également, qui grommelait.
    
    — Putain, pourquoi tu me réveilles ?
    
    — Regarde ce qui est assis dans la cabine.
    
    L’homme tourna les yeux vers moi, il ne m’avait pas vue.
    
    — Qui est-ce, dit-il ?
    
    — Notre dessert. Ecoute-moi. Un certain Hector, qui nous a écrit cette lettre, fit-il en montrant la feuille qu’il tenait à la main, nous demande de baiser sa petite chienne, Patricia. Tu t’appelles Patricia ? Tu confirmes ce que je viens de dire ?
    
    — Oui, je dois trouver un moyen pour rentrer chez moi et ce moyen implique de me faire baiser.
    
    Le deuxième homme, Fred, pas surpris du tout, voulut tout de suite vérifier ma sincérité et décida de commencer à passer ses mains sur mon corps. Voyant que je me laissais faire, le premier rigola et sortit son sexe. Il commença à se toucher pendant que son pote palpait la marchandise.
    
    Il commença par écarter mon manteau et me demanda bientôt de l’enlever. Il demanda à lire la lettre, la parcourut, puis dit :
    
    — OK, on te baise, on te ramène à l’adresse indiquée.
    
    — Vous devrez éjaculer sur mon visage..., me sentais-je obligée de rajouter
    
    — On fera un effort alors, pas de souci. Je n’ai jamais baisé d’Asiat, on ...
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