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Le bon côté de la neige
Datte: 26/11/2018, Catégories: fh, inconnu, campagne, froid, voiture, autostop, intermast, pénétratio, coupfoudr, Auteur: Sexapile33, Source: Revebebe
... les siennes. J’ai la tête dans ses cheveux et mon esprit commence à la désirer. Elle s’agite sous les couvertures et elle glisse une de mes mains dans son jean qu’elle a ouvert. Je laisse faire Brigitte qui place mes mains sur le haut de ses hanches. Je suis tellement « out » que je me laisse faire. Elle rigole en me disant que je lui glace les fesses. Je m’excuse mais ça la fait encore plus rigoler de la situation. J’ai mal aux bouts des doigts mais cela indique que la chaleur commence à circuler de nouveau dans mes extrémités. Ça me rassure un peu et je pense que nous pourrons bientôt partir sur la route pour rejoindre la petite ville à pied. Malgré les efforts de Brigitte, je ne peux empêcher les frissons de me parcourir. Brigitte m’enlace et se colle à moi en me frottant le dos. Elle me parle doucement comme une mère à son enfant pour le rassurer. Elle glisse ses mains chaudes directement sur ma peau, sous le tissu de mon tee-shirt. Ses mains dans mon dos me frottent et elle me serre un peu plus contre elle. Je lui dis que c’est cool comme premier rendez-vous mais Brigitte n’est plus dans l’humour, elle s’active pour m’aider avec toute la force qu’elle peut avoir. Mes mains sur ses hanches la caressent sans vraiment le vouloir. Ses frictions commencent à devenir des caresses et la nature prend le parti d’unir notre esprit dans un jeu bien connu. C’est elle qui commence en m’embrassant dans le cou. Au deuxième baiser, je sors une main de son jean et la glisse ...
... dans son dos, directement sous le tee-shirt. Ma main arrive à la fermeture de son soutif et je me glisse en dessous pour rester contre sa peau. Nos respirations s’accélèrent et dans un mouvement commun, nos bouches se trouvent pour un langoureux baiser. Ma langue joue doucement avec la sienne et elle se presse toujours contre moi. D’un geste presque trop précis, je dégrafe l’attache de son soutif. Brigitte se dégage de mon baiser et me susurre à l’oreille : — Il ne tient pas, ce n’est pas grave ! — Merde… moi qui me prenait pour un dieu, d’avoir réussi du premier coup ! Elle rit de ma réponse et nous reprenons notre baiser. Mes deux mains sont dans son dos. Brigitte en fait autant et elle commence à soulever mon tee-shirt. Je crève d’envie de passer mes mains sur sa poitrine mais j’ai peur de casser ce moment magique. C’est encore Brigitte qui prend le devant et elle retire d’un coup son tee-shirt et son soutif. Le temps qu’elle se déshabille, je regarde avec plaisir une paire de seins avec plein de taches de rousseur. Les tétons sont très sombres et crispés avec une aréole bien dessinée. Nous nous plaquons l’un contre l’autre et nous nous caressons pendant un long moment. La chaleur humaine de ce moment de caresses arrive à me réchauffer, aussi bien l’esprit que le corps. Ensuite, tout se passe sans un mot avec une infinie douceur. Brigitte défait son jean et sa culotte dans un geste rapide pour revenir sous les couvertures. Je retire mon caleçon et mon ...