1. Tropique porno (2)


    Datte: 26/11/2018, Catégories: Gay Auteur: Naysayer44, Source: Xstory

    ... flasque. Rien de cela ! Ses seins restaient près du corps, solidement fixés à sa poitrine, formant deux grosses tomates. Des cœurs de bœuf, pour les connaisseurs. Et j’adore les tomates...
    
    Chaque matin, je rêve de passer le petit portillon, me mettre derrière elle pour l’aider à se redresser, sentir son gros cul venir s’écraser sur ma braguette, la presser, la comprimer, tandis que mes mains sur son ventre remonteraient pour attraper ses grosses mamelles. Tout ça en lui enfonçant ma langue au fond de la bouche. Doux fantasme...
    
    Douce Mama...
    
    Avec sa remarque, Antoine était loin de se douter que je guettais l’horloge, attendant impatiemment minuit pour pouvoir retrouver mon amant pimenté, si formidablement musclé... J’avais déjà en tête le film de cette nuit : moi à genoux sur le sable froid et humide en train de faire des va-et-vient gluants, bruyants et serrés sur son sexe que j’imaginais long, épais, taillé aux couteaux, avec un gland fier légèrement recourbé vers le haut, un gland rose clair, gonflé à l’extrême, dont suinterait en continu du liquide préséminal épais, légèrement salé, qui me ferait baver de plus belle... Je l’imaginais me masser la tête, sans être directif, tant il aimerait ma façon de lui bouffer la bite, ses caresses témoignant simplement du plaisir que je lui apporte. Je voulais imaginer encore et encore, mais mon père m’interrompit :
    
    — Jérôme ?
    
    — Hein ? Quoi ?
    
    — Tu veux un dessert ?
    
    — Oh... Oui, absolument.
    
    — Eh bien, dis à la ...
    ... Mama ce que tu veux.
    
    Derrière mon épaule avait surgi notre bien aimable septuagénaire. Là, dans son tablier, elle n’avait rien de sexy, mais son air était si paisible, si adorable, que je l’aurais tout de même serrée dans mes bras avec un plaisir immense. J’arrêtais le cours de mes pensées pour lui indiquer sur la carte ce que je souhaitais commander. Elle me rendit mon sourire et repartit. Sa croupe était large... C’était elle que j’espérais trouver dans mon assiette...
    
    — Et toi mon chaton, tu as des projets pour ce soir.
    
    — Oh, pas vraiment. Je dois appeler Cris, pour qu’on organise notre déménagement à Grenoble, j’en profiterai pour aller faire une promenade en ville.
    
    Je ne pouvais pas le voir, mais je devinais que la main d’Antoine posée sur la chaise de Matthieu lui caressait le dos en signe de victoire. Si je traînais en ville, c’est qu’il avait la plage pour eux seuls, aucune chance que je les surprenne. Cependant, un problème émergeait. Je n’y avais pas encore pensé, l’excitation m’interdisant toute pensée rationnelle. Nous 4 avions rendez-vous sur la même plage... J’espère que mes papas ne se pointeront pas à minuit.
    
    Le dessert arrive. Je l’expédie rapidement, le fais passer avec un café fort, et nous nous séparons. Comme prévu, je pars me promener en ville, et mes parents s’en retournent à l’appartement.
    
    En ville, je traîne. Je m’ennuie. Il fait encore chaud, tout est moite. J’ai l’impression d’évoluer dans un univers de confiture, tout est ralenti, ...