1. Mon chéri, un mari obéissant


    Datte: 25/11/2018, Catégories: fh, hépilé, hsoumis, fdomine, Oral hgode, hsodo, yeuxbandés, hsoumisaf, Auteur: Vinz, Source: Revebebe

    ... encore le faire, avec en bonus un peu de sperme qu’elle allait puiser avec facilité en elle.
    
    Il avait d’abord avalé le sperme qui s’était présenté à la sortie de sa chatte ; maintenant, il enfonçait la langue plus profondément pour aller en chercher davantage. Quel bon nettoyeur ! Elle était aux anges ; la réalisation de son petit plan machiavélique dépassait toutes ses espérances ! Mais toujours pas de jouissance en vue pour elle ; trop d’émotions sans doute.
    
    Son homme était de nouveau frais et dispo, au vu de sa queue qui semblait se durcir légèrement, et surtout des mouvements de bassin qu’il recommençait à donner contre le matelas tout en la léchant. Bon, elle n’avait donc pas d’autre choix que d’appliquer la troisième et dernière partie de son programme, qu’elle maîtrisait nettement moins. En tout cas, pas le choix : elle aussi voulait jouir, non mais !
    
    — Attends un peu, mon chéri, je vais aller boire un verre (et me donner du courage). En attendant, mets ce masque sur tes yeux et attends-moi sur le lit.
    
    À son retour cinq minutes plus tard, elle le découvrit comme prévu avec le masque sur les yeux, mais à quatre pattes sur le lit en train de se branler ! Alors, sans un mot elle s’approcha. Lui, devinant finalement sa présence, s’arrêta net dans sa masturbation, le souffle court, aveugle avec son masque. Elle lui claqua violemment la fesse droite. Il fit un bond en avant, mais ne broncha pas.
    
    Alors, comme la précédente fois (lors du carnaval, cette année), ...
    ... elle alla chercher le gode transparent ; elle le fit courir doucement sur sa colonne vertébrale qui se tendit, se courba. Il respirait fort. D’un coup d’œil expert, elle vit sa queue qui devenait de plus en plus dure. Lorsque le gode arriva au niveau des fesses, celles-ci semblaient se lever vers elle, s’ouvrir, implorer sa bienveillance.
    
    C’est le moment qu’elle choisit pour lubrifier le gode et commencer à l’enfoncer très doucement en lui. À peine enfoncé de quelques centimètres, elle le retira, puis recommença plusieurs fois l’opération. Après une première résistance naturelle, le cul de son mari semblait bien souple et en attente. Vint alors la petite phrase qu’elle avait au préalable imaginée, préparée, longuement jaugée pour ne pas être trop trash, mais lourde de sens quand même :
    
    — Alors, c’est qui la patronne, ici ?
    
    Elle entendit un petit « Euh… c’est toi. » en guise de réponse. Elle enfonça le gode d’un coup, jusqu’à la moitié de celui-ci. Il tressaillit. En cet instant, il était tout à elle. Elle voulait néanmoins pousser encore un peu plus son avantage…
    
    — Mon chéri, tu seras doux et obéissant, d’accord ? Je ne veux plus jamais avoir tort à chaque fois que nous avons une discussion ; et puis aussi tu en feras un peu plus encore pour les tâches ménagères à la maison. D’accord, mon chéri ?
    
    Elle insista sur ce dernier mot ; elle ne disait jamais « mon chéri » d’habitude : elle voulait en fait que ce mot prenne un tout autre sens pour eux deux, peut-être ...