1. Mon chéri, un mari obéissant


    Datte: 25/11/2018, Catégories: fh, hépilé, hsoumis, fdomine, Oral hgode, hsodo, yeuxbandés, hsoumisaf, Auteur: Vinz, Source: Revebebe

    Comment tout ceci a commencé, il ne s’en souvient plus.
    
    Sans doute – oui, sans doute – tout a commencé avec cette petite phrase ; tout commence par une petite phrase, si souvent… Un SMS, en fait. Ça disait : « Oh faite, ne prévois rien du tt pour samedi. Je me suis occupée de ton emploi du temps. » Non, il ne s’agit pas d’une erreur de traduction issue d’une langue cunéiforme ou d’un dialecte oublié tiré d’une île perdue du Pacifique. Oui, la retranscription est authentifiée, fautes d’orthographe incluses.
    
    Le fameux samedi
    
    Le samedi suivant, les enfants étaient chez les grands-parents, comme par enchantement. Il revenait du jardin, à gratouiller la terre comme à son habitude. Il était transi de sueur, son tee-shirt juste bon pour un passage au tourniquet aquatique.
    
    — J’ai faim, lui dit-elle sitôt sortie de la douche ; et si tu préparais quelques toasts avec le foie gras que j’ai acheté, chéri ?
    
    Il s’exécuta. Quand il revint dans la chambre avec le plateau garni, elle lisait un magazine qu’il ne connaissait pas et avait l’air un peu affriolé.
    
    — Ben, je croyais que tu avais prévu le programme, en fait ; il est midi, tu n’as rien prévu ?
    
    Il avait l’air déçu, le bougre. Elle le regarda en souriant, écarta légèrement les cuisses, et de la main lui fit signe de venir près d’elle, tout près d’elle, la tête entre ses cuisses en fait…
    
    — Si, bien sûr, j’ai un programme ; et justement, mon programme commence par un déjeuner royal à base de foie gras, et de me ...
    ... faire sucer par mon homme pendant ce temps. Met-y du cœur, j’ai envie de jouir. Et je te signale que pendant ce temps, j’apprends aussi des tas de trucs intéressants sur l’art de contrôler la queue de son mari…
    
    Il n’entendit pas la fin : il était déjà trop occupé…
    
    L’après-midi avait donc bien débuté. Bon, sa jouissance n’était pas allée à son terme, mais elle avait quand même bien profité de la situation, s’était à un moment donné carrément assise sur son visage, frotté les lèvres sur… les siennes, et enfin l’avait enfourché, chevauché, pénétré, absorbé… Elle non plus n’avait pas été jusqu’à le laisser jouir : elle s’était retirée au moment fatidique. Au bord de l’explosion, son mari était devenu prêt à tout. C’était justement le moment qu’elle attendait pour déclencher la seconde partie de son programme…
    
    — Viens me sucer, lui dit-elle simplement.
    
    La façon dont il s’est jeté sur elle en disait long sur l’état d’excitation dans lequel elle avait réussi à le mettre. Il lapait comme un fou, tentait aussi de se frotter l’entrejambe au rebord du fauteuil sur lequel elle s’était assise. Si elle ne reprenait pas la main rapidement, il allait jouir sans elle, là.
    
    — Hop-hop-hop, chéri ; voilà ce que te propose.
    
    Et en disant ces paroles, elle recula d’une main la tête de son mari pour l’empêcher de continuer à la sucer et lui plaça deux doigts de son autre main dans sa bouche en guise de lot de consolation. En l’écoutant, il se mit à sucer ces doigts offerts ; il était ...
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