1. Mon chéri, un mari obéissant


    Datte: 25/11/2018, Catégories: fh, hépilé, hsoumis, fdomine, Oral hgode, hsodo, yeuxbandés, hsoumisaf, Auteur: Vinz, Source: Revebebe

    ... sous son emprise.
    
    — Voilà, tu vas aller te laver et te calmer un peu sous l’eau de la douche(tu parles, elle y croyait à peine)… Et aussi tu vas te raser, intégralement, je veux plus voir un poil. T’inquiète pas, ça repoussera. Enduis-toi aussi de cette huile, mais sans excès, hein, t’es pas une frite non plus. Quand tu es prêt, parfumé et embaumé, tu enfiles cette tenue (une cravate qu’il porte à son travail) et tu me rejoins dans la chambre.
    
    Il est parti à la salle de bain pratiquement en courant. Le pauvre, s’il savait. Elle n’avait pas du tout l’intention de le laisser jouir, du moins pas comme il le pensait. En attendant, elle s’est servi un rhum arrangé, a sniffé un peu de popper qu’il avait ramené un jour.« Bou-ha, bizarre, ce truc… » Elle n’eut guère le temps d’en faire davantage ; déjà il revenait de la salle de bain, apprêté, nu, et appétissant comme un croissant chaud. Mais encore raide et le regard déjà trouble d’excitation.
    
    — Oh, mon chéri, tu es beaucoup trop excité…
    
    Elle se mit à quatre pattes en levrette et lui présenta son sexe en écartant légèrement les jambes.
    
    — Viens vite te décharger en moi…
    
    Il se dressa sur le lit sur les genoux, derrière elle, le souffle court, et d’un coup, sans prévenir, il s’introduisit en elle. Ah bravo, quelle sensibilité ! Mais en fait, elle avait toujours le contrôle de la situation, hé-hé… Elle gémit et lui massa d’une main les testicules. Puis lui branla fermement la queue qui entrait et sortait d’elle, en ...
    ... simulant carrément un orgasme. Évidemment, il jouit bruyamment. Il n’était donc pas arrivé dans la chambre depuis plus de deux minutes qu’il était déjà vidé ! Et c’est bien ce qu’elle avait imaginé…
    
    Il était toujours en train de lâcher son sperme par spasmes réguliers au fond d’elle, jet après jet, en pleine action, quand brusquement elle ne le laissa pas finir : elle se retira vivement, s’allongea sur le dos, et des deux mains lui prit fermement la tête pour la conduire à son sexe béant. Un peu honteuse quand même, elle chuchota en guise de justification :
    
    — T’as jouis trop vite, mon chéri ; maintenant, tu vas devoir t’appliquer pour me faire jouir aussi.
    
    Et voilà comment elle comptait bel et bien démarrer ce bel après-midi ensoleillé : se faire sucer par un mari doux et obéissant, sucer en toute sérénité car il avait désormais les couilles à moitié vides, et surtout se faire sucer avec un lubrifiant naturel tout trouvé : son propre sperme.
    
    C’était vraiment un mari parfait : il n’a pas bronché ni eu de mouvement de recul ; il n’a manifesté aucune précipitation non plus. Son mari lui broutait le minou avec douceur, consciencieusement, comme un bon élève, en fait. Elle lui caressait la tête lorsque les coups de langue étaient bien placés ou au bon rythme. Elle lui plaçait en revanche son index sous le menton s’il n’était pas à l’endroit voulu ou s’il avait besoin d’un petit stimulant. Il adorait aussi qu’elle lui mette un doigt dans la bouche ; elle allait cette fois ...