1. La culotte de Rose 1


    Datte: 24/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... insistant. Sa main libre découvrit le zip de ma braguette et, avec ma complicité bienveillante, s’infiltra sous l’étoffe, pressa à travers mon slip ma verge éveillée par le baiser et par l’approche des doigts fins de la donzelle curieuse. Elle montra une certaine dextérité et extirpa mon sexe durci au contact de la peau étrangère. Ses yeux se baissèrent, sa main à demi ouverte présenta l’objet désiré à sa vue.
    
    - Oh ! Qu’il est mignon, dit la belle.
    
    Je me sentis autorisé à rendre la politesse et alors que religieusement elle me prodiguait d’ineffables caresses j’envoyais par-dessous sa jupe froissée une main entre ses cuisses maigres. L’attaque la surprit, j’atteignis sans difficulté le sommet de la fourche des jambes, plaquai la paume sur le coton humide qui protégeait son sexe. Elle sursauta, recula d’un pas, fixa ma bistouquette et déclara:
    
    - Mon chéri, n’allons pas trop vite. J’ai peur de brûler les étapes
    
    Comme à regret elle lâcha l’oisillon prisonnier, rabattit les plis de sa jupe. Il n’y eut plus de baiser, juste un babillage sur les beautés de la forêt. Rose paraissait fort troublée. M’étais-je montré trop empressé ? Je posai ouvertement la question et obtins pour réponse :
    
    - Mais non, j’ai aimé. Simplement j’ai peur de m’enflammer trop vite. Quand tu me touches là en bas, j’ai la tête qui tourne.Je t’aime.
    
    Trois jours durant je ne la vis plus. J’eus l’impression qu’elle me fuyait. Était-ce par peur, par honte ou pour une autre raison ? Une raison ...
    ... facile à imaginer. La petite taille de mon instrument pouvait l’avoir déçue. Je surveillai sa demeure, je la vis s’en aller. Je la suivis avec l’intention d’obtenir une franche explication. J’en fus dispensé. Au premier croisement de rues elle tomba sur mon copain Rodolphe, un garçon plus leste que moi, blagueur et séducteur. Il blaguait, elle rit, elle lui sauta au cou. Ils s’éloignèrent pour se réfugier à l’abri d’un contrefort de notre église romane.
    
    Toutes mes illusions tombèrent à la vue du comportement des jeunes gens. Rodolphe plus hardi que moi mit beaucoup moins de temps à l’embrasser, à découvrir sa frêle poitrine, à faire sauter le soutien-gorge et à mordiller les tétons, franchissant en quelques minutes un chemin que je n’avais pas parcouru après de longues semaines de flirt trop respectueux. Depuis un buisson propice, je vis se répéter dans l’encoignure à l’abri des regards des passants, la scène que j’avais vécue le premier mai . Avec une grande différence à partir d’un moment. Rose tenait la queue de Rodolphe sur laquelle elle faisait coulisser ses phalanges. J’en aurais rêvé, Rodolphe réalisait. Il passa sa main sous le ventre de la fille et la fit aller et venir. Tout à coup il s’accroupit, Rose protesta:
    
    - Non, laisse-moi ma culotte.
    
    La protestation fut inefficace, Rodolphe se releva et agita son trophée, le porta à son nez et l’empocha. Il saisit alors les épaules de Rose, lui fit accomplir un demi-tour, visage vers le mur, appuya sur le dos, lui ...