La culotte de Rose 1
Datte: 24/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
La culotte de Rose 1
Si un verger était un atelier où l’on soigne les verges, j’irais volontiers y faire un séjour pour rectifier un défaut dont m’accabla la nature. En pleine adolescence, je me rendis compte de l’injustice dont j’étais frappé. Curieux des choses du sexe j’étais tombé sur un article dit pédagogique. J’y appris notamment que la taille moyenne d’un pénis en érection, appelé aussi verge dans cet état, était de quinze centimètres. Une moyenne s’établit avec des plus et des moins. J’eus vite constaté, double décimètre à l’appui, que mes douze centimètres me classaient dans la catégorie des moins bien dotés. Évidemment complexé par la révélation de ma disgrâce, je n’osai en parler à personne,pas même au médecin traitant de la famille.
Plus tard le recours à la masturbation ne changea rien à l’affaire. J’éjaculais, mouillais mon ventre et ms doigts, jaunissais mes slips,mais ne grandissais pas. Par bonheur je lus que les zones les plus innervées du vagin se situaient à sept centimètres de son entrée. Je serais donc capable, le moment venu d’atteindre ces points névralgiques qui selon les articles lus et relus devaient procurer la jouissance de ma partenaire. Mon affolement tomba, il me restait à attendre de vivre ma première expérience sexuelle pour obtenir confirmation de cette bonne nouvelle.
Après quelques flirts timides et peu concluants, je fis la connaissance de Rose. J’avais vieilli, je me rasais régulièrement, je devenais un homme. Rose n’était pas ...
... une reine de beauté, elle espérait des mois et des années à venir, un épanouissement lent à se manifester. Ses bras et jambes semblaient fluets, il fallait de la bonne volonté pour découvrir ses seins sous le gros pull qui les cachait. Mais derrière les loupes de ses lunettes de myope brillaient deux yeux pleins de chaleur. Je lui plus, elle s’attacha à mes pas, me déclara timidementson amour. Derrière son physique ingrat je crus trouver un cœur généreux, un brave morceau de fille.
Les apparences étaient trompeuses, la beauté n’avait pas l’apanage des beaux sentiments; je fus touché d’être l’objet de son amour. Des sentiments avoués, nous passâmes aux premiers baisers. Les petits bisous rapides sur les joues nous firent rougir, glissèrent avec hésitation sur les lèvres. Notre audace soudaine nous étonna d’abord, mais après quelques essais nous sembla naturelle. D’autres parfois s’embrassaient à pleine bouche. Ce devait être bon, pourquoi ne pas essayer. Alors je tentai ma chance. Rose se montra réticente la première fois, me gronda parce que j‘étais trop pressé. J’étais désolé, prêt à m’excuser. Or elle énonça une proposition étonnante:
- Jure-moi que tu m’aimes vraimentet tu pourras m’embrasser comme tu voudras.
Je jurai. J’étais sincère. Du coup les lèvres de Rose obéirent à ce « Sésame ouvre-toi », se séparèrent avec un reste de pudeur et se collèrent aux miennes. Il fallut plusieurs rencontres avant d’obtenir une reddition complète. Je dus répéter « Je t’aime » ...