1. La culotte de Rose 1


    Datte: 24/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... des dizaines de fois pour desserrer ses dents blanches. Enfin je connus vraiment la saveur de sa salive. Nos langues firent connaissance, s’enhardirent, luttèrent, passèrent d’une bouche à l’autre, fouillèrent, chatouillèrent le palais voisin. Le baiser devint plus long, se fit langoureux, traduisit avec ardeur nos sentiments, se voulut infini.
    
    Mais il fallait rependre haleine avant d’aborder une tentative plus enivrante. La frêle jeune fille y prit goût, je ne m’en lassai pas. Ces échanges buccaux s’accompagnèrent d’étreintes, nos corps se rapprochèrent sous l’effort des bras. Rose n’était pas aussi fragile que je l’aurais cru, elle savait si bien s’accrocher à mon cou afin de lever vers moi sa bouche gourmande. Ses caresses me bouleversaient. Suspendue aux lianes de ses bras, elle poussait vers moi son bassin. Mes mains plaquées sur ses hanches étroites tiraient vers le mien son ventre plat. Que ressentait-elle ?
    
    Avec l’habitude elle se collait de plus en plus fort et mon corps en conçut des sensations puissantes, surprenantes mais si agréables, mon sang échauffé enfla mon pénis, ma verge se déploya à l’étroit dans mon slip. Toutes proportions gardées, si l’on se souvient du défaut précédemment signalé. Assez cependant puisque Rose voulut savoir quel objet dur je cachais dans mon pantalon.
    
    Le premier mai, Rose voulut cueillir du muguet dans la forêt. De nombreux cueilleurs occupaient les sous-bois. Nos brins de muguet abrités dans un mouchoir trempé dans l’eau ...
    ... d’une source, nous nous sommes enfoncés à l’écart de la foule. Nous faisions quelques pas, Rose levait son bouquet, je l’enlaçais, je l’étreignais et je l’embrassais amoureusement. Il faisait beau, elle riait, était heureuse. Le pull d’hiver était remplacé par une blouse légère, presque transparente. Je devinais le soutien-gorge de dentelle blanche. Quelques haltes plus loin, a l’abri d’une haie épaisse, pendant un baiser savoureux, ma main droite se posa sur son sein gauche.
    
    Oh ! Il n’était pas bien gros, n’avait rien à voir avec ces outres qui peuplent la page du milieu de play-boy par exemple. C’était plus une tourterelle qu’un pigeon d’élevage. Menu, doux sous le tissu, souple, mais réactif. Le roucoulement de Rose était une invite à la prolongation de la caresse, un encouragement au franchissement d‘une étape supplémentaire dans les méandres des jeux de l‘amour, sur la route d‘une sexualité épanouie.
    
    . Ma main demeura légère, curieuse, plus proche du frôlement que de la pression. La tendre chair de sa poitrine diffusait une douce chaleur. Les yeux brouillés de larmes de ma chérie m’encourageaient à oser encore. Nos bouches se quittèrent. Je plaquai mes deux mains sur la poitrine offerte et avide de caresses. Rose murmurait des mots tendres, je lui parlais d’amour et mes mains pétrissaient gentiment ce qu’entre garçons nous appelions des nichons.
    
    Elle se pendit à ma nuque d’une main pour un nouveau baiser et je sentis sur mon pantalon un frôlement qui devint ...
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