Merci pour le lycée
Datte: 24/11/2018,
Catégories:
ff,
jeunes,
copains,
fépilée,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
Humour
Auteur: Sofie, Source: Revebebe
... à émettre la moindre syllabe construite. Il est encore sur une autre planète. Je vois bien qu’il tente de réagir, mais son esprit fourmille encore de mille fantasmées autrefois et aujourd’hui vécues.
— Florent, tu sais plus parler ? Ça va ? dis-je presque inquiète, de le voir dans ce coma éveillé.
— Laisse-le un peu reprendre ses esprits. Puis imagine-le un peu le pauvre. Il n’a même pas pu vider sa frustration… répond Hélène à la place du silence laissé par Florent.
— Heu…oui oui… C’est venu tout seul en fait…
Ceux sont les premiers mots de Florent. Puis il baisse ses yeux vers son pantalon et l’on devine le sens de ces derniers termes.
Hélène et moi, nous nous regardons amusées, par l’état dans lequel nous avons mis notre pauvre ami. Puis, Hélène émet cette proposition à Florent.
— Tu sais Florent, tu devrais aller te rafraîchir dans la sale de bain à côté. Ça te fera du bien. Puis, te nettoyer, si c’est venu tout seul…
Je vois se dessiner sur le front de Florent une ride, on devine qu’il fait un effort pour remettre ses ...
... idées en place, mais dans une sorte d’incompréhension, il se lève et se dirige dans la salle de bain, c’est peut-être là-bas qu’il reprendra ses esprits perdus.
Une fois, Florent parti derrière la porte de la salle de bain, Hélène se retourne sur moi et me dit toute souriante :
— On reprend ?
— Quoi mais t’es folle ! J’suis exténuée et puis Florent et à côté, il peut revenir !
— Bah quoi ? Qu’est ce qu’on vient de faire ? Après ce qui vient de se passer, on ne va pas se formaliser pour lui quand même !
— Hélène, non. T’as vu dans quel état il est. Tu veux le tuer ma parole. Non, on arrête… allez, tiens.
Je lui tends son t-shirt pour la convaincre, en le saisissant nos mains se frôlent. J’en profite pour lui demander.
— C’est délire ce qu’on vient de faire, non ?
— Ouais grave, me répond-elle.
— J’ai adoré… lui avouais-je, rougissante.
— Tu vas m’en vouloir ma puce… Je crois que je vais tuer ton copain…
Sur ces mots, Hélène laisse tomber son t-shirt et s’allonge sur moi pour d’autres plaisirs, cette fois-ci en toute intimité.