Merci pour le lycée
Datte: 24/11/2018,
Catégories:
ff,
jeunes,
copains,
fépilée,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
Humour
Auteur: Sofie, Source: Revebebe
... possibilités que lui offrent sa langue. Je gémis, mes bras appuyés sur le lit pour me retenir de m’écrouler tant le plaisir est énorme. J’entrouvre les yeux et me rends compte que je suis face à Florent. Je n’ai qu’à lever le regard pour croiser le sien. Je n’ose pas, gardant encore un zest de timidité. Puis, l’envie est trop forte, voir sa réaction, montrer mon excitation, la lueur qui dit briller assurément dans mes yeux.
Mordillant mes lèvres, je lève la tête et mon regard se pose automatiquement sur Florent.
Il est affalé sur le fauteuil, le regard d’un zombie, parfois ses pieds ou ses jambes sont pris de spasmes. Ses lèvres sont sèches, il ne cesse de déglutir. Il bouillonne, cela se voit comme le nez sur la figure. Soudain, la tentation est trop forte, et je croise son regard. Je suis étonnée de pouvoir maintenir ce jeu de regard. Sans aucune honte, je fixe Florent, tandis qu’Hélène se délecte de mon fruit intime pour mon plus grand plaisir.
Pleinement épanouie, je montre un sourire franc dévoilant mes petites dents, ajoutant également un clignement au ralenti des paupières lui faisant comprendre le talent d’Hélène. Par défi et jeu, je prends le temps de prononcer sans aucun son, mais en bougeant distinctivement mes lèvres de telle façon que Florent puisse aisément lire sur celles-ci.
— C’est – trop – bon…
Soudain, elle décide d’introduire ses doigts en moi. Son mouvement est appliqué et sans aucune difficulté, vu l’état de mon sexe trempé, elle peut ...
... commencer à me doigter. C’est quasiment tous ses doigts qui s’agitent en mon intérieur, dans un rythme crescendo. La boule de feu qui emprisonné ma gorge descend entre mes cuisses et semble prendre de l’ampleur. Mes yeux s’embuent de larmes, mes nerfs vont craquer.
J’expulse un cri à travers toute la pièce, je jouis pleinement, m’écroulant sur le lit comme tout paraît s’écrouler autour de moi. Hélène retient mes jambes pour ne pas qu’elle se referme sur elle. Mon bras droit saisit le gauche pour tenter de trouver un quelconque appui. L’implosion de mon être est si fort que d’un geste incontrôlé je me griffe une partie du bras. Mon ventre se relève une dernière fois puis retombe. Je suis exténuée, le cœur fou, tout mon corps est engourdi et lourd pourtant une sensation de bien-être se diffuse à travers moi. Je me sens si bien.
Une main saisit ma tête, le temps de mettre un coussin sous elle. J’ouvre les yeux et je vois Hélène à mes côtés, se massant doucement les lèvres intimes sur ma cuisse puis se positionnant sur mon flanc droit et glissant dans mon oreille.
— J’ai adoré… on dirait que je suis pas la seule…
Je pars dans un franc éclat de rire ce qui surprend Hélène puis elle comprend la raison de ce rire lorsqu’elle suit la direction de mon regard, vers Florent. Je lui réponds ensuite.
— Je crois oui. On est au moins deux à avoir aimé…
Puis j’ajoute cette fois à l’encontre de Florent.
— Et toi, je suppose que tu as aimé ?
— Heu…
Florent ne parvient pas ...