Orage en montagne
Datte: 24/11/2018,
Catégories:
fhhh,
couplus,
inconnu,
uniforme,
forêt,
anniversai,
Masturbation
préservati,
Partouze / Groupe
yeuxbandés,
Auteur: Cristal, Source: Revebebe
... c’est moins compliqué et… surtout, elles savent s’y prendre, on tourne pas autour du pot pendant deux heures !
Surfant sur l’occasion qui lui est offerte, Christophe poursuit :
— C’est plutôt flatteur de la part de jeunes et beaux garçons !
— Oui, c’est vrai, mais moi je n’étais pas très tranquille sans toi. Par contre, on dirait que toi ça ne te déplaît pas…
— Tu devines tout, ma cougar préférée ! Après tout, même s’ils sont certainement en manque de nanas, tu ne risquais rien si ce n’est qu’ils te draguent de manière un peu appuyée ! Mais quelque chose me dit que leur irruption ne te laisse pas toi non plus indifférente !
— Ben… je dois reconnaître que cette situation inattendue est pleine de piquant ! Confidence pour confidence, ça m’a quand même émoustillée de les voir tous à poil.
— Je l’aurais parié ! Comme on fantasme régulièrement en imaginant des situations où on s’occupe « bien » de toi, ça ne m’étonne pas, et…
Sa phrase est interrompue par un violent claquement de tonnerre. Aline pousse un cri et s’accroche à Christophe. Le vent se lève et de grosses gouttes s’écrasent sur le sol. Des éclairs zèbrent le ciel d’encre et, soudain, une pluie diluvienne prend de court les ramasseurs de bois. Ils rejoignent le gîte en courant, après avoir enveloppé les brindilles dans leur veste pour les abriter.
Aline et Christophe sont les premiers à rejoindre le refuge, trempés jusqu’aux os. Ils allument un petit feu et les quelques chandelles laissées là par les ...
... visiteurs successifs. Les flammes dispensent une lumière vacillante dans la pièce et ils rajoutent dans l’âtre les quelques branches ramassées par Christophe.
— Je voudrais me changer avant qu’ils reviennent, lui dit Aline en fouillant dans son sac à dos. Oh, zut, les autres vêtements sont étendus dehors. Il me reste que ce tee-shirt sans manches et une culotte.
— Tu ne peux quand même pas rester trempée comme ça… puis, la regardant d’un air coquin, il ajoute : Je ne pense pas que ça les dérangerait… bien au contraire !
— Si je reste comme ça, je vais attraper la crève… mais dis-donc, toi, on dirait bien que ça te plairait que je leur fasse le coup du tee-shirt mouillé, non ?
— Mais qu’est-ce que tu vas imaginer ! dit Christophe en lui adressant un clin d’œil.
Ils se déshabillent rapidement. Aline vient à peine d’enfiler son tee-shirt sec quand la porte s’ouvre brusquement sur une obscurité zébrée d’éclairs. Un à un, les bras chargés de branches, les cinq militaires pénètrent dans la pièce, trempés, car ils ont eux aussi utilisé leurs vestes pour protéger les branches de la pluie.
— Putain de temps, s’écrie leur chef en s’adressant au couple, on a pris une sacré saucée. Heureusement qu’on va pouvoir se réchauffer auprès du feu et surtout se sécher, car notre paquetage « raid » ne prévoit pas de vêtements de rechange !
Le regard des militaires converge immédiatement vers Aline qui s’était assise, recroquevillée en enserrant ses genoux de ses bras. Échangeant entre ...