1. L'oeuf de Colombe


    Datte: 23/11/2018, Catégories: fh, couple, hotel, caférestau, amour, Auteur: Freddysirocco, Source: Revebebe

    ... s’agenouille à mes pieds. Aussitôt, ma queue se redresse fièrement et disparaît lentement mais sûrement entre ses lèvres visiblement expertes. Elle répète ce doux va-et-vient plusieurs fois, puis joue un peu de sa langue sur mon gland. Les regards qu’elle me lance sont délicieusement espiègles. Elle se fait visiblement une joie de partager ces quelques instants de folie avec moi avant de commencer véritablement sa journée. Soudain, elle resserre l’étreinte de ses lèvres et de sa main autour de ma bite et commence à m’aspirer furieusement, comme si sa vie en dépendait, comme si le but était de me faire jouir le plus rapidement possible. Elle sent bien d’ailleurs qu’à ce rythme-là je ne vais pas tenir longtemps. Sa bouche émet un drôle de son quand elle expulse enfin mon zob. Ça la fait rire, elle recommence. Une fois. Deux fois. J’en profite alors pour déchirer l’enveloppe de plastique autour de la capote, fébrilement, puis je la lui tends. Elle essaie de me l’enfiler mais je dois lui venir en aide. Putain de latex à la con !
    
    Je parviens finalement au bout de mes peines. Colombe me tourne le dos, se colle contre le mur et me donne à voir une croupe irréelle. Sa cambrure naturelle s’est encore accentuée. Tout cela est à la fois magnifique et follement excitant. Nos yeux se croisent furtivement, pour la dernière fois ce matin-là.
    
    — Allez, prenez-moi François ! Fort !
    
    Mais ses fesses sont trop belles pour être prises instantanément. Je ne résiste pas à la tentation : ...
    ... je m’agenouille à mon tour pour me perdre quelques instants entre ces deux globes à la chair incroyablement ferme. L’odeur de son con détrempé m’enivre. Je ne m’attarde pas, pas le temps. Dommage.
    
    Je me relève très vite. La tête me tourne un peu, j’ai des petites étoiles devant les yeux. Cela ne m’empêche pas de l’enfiler sans plus de préliminaires. Lentement, délicatement, mais le plus profondément possible. Elle émet un râle de contentement – à moins qu’il ne soit de soulagement. Je réitère l’opération plusieurs fois, en me retirant complètement avant de la prendre à nouveau jusqu’à la garde. Sa chatte est brûlante et elle me l’offre sans retenue, son bassin accompagne mes mouvements comme pour les amplifier encore. Petit à petit mon va-et-vient s’accélère – sa respiration aussi. Puis, n’y tenant plus, je me mets à l’ouvrager frénétiquement, je la culbute sans ménagement à présent, presque brutalement, ce qui ne me ressemble pas vraiment. J’enroule ma main dans ses cheveux et je tire légèrement en arrière, ce qui lui arrache un petit cri de surprise et augmente encore, si cela était possible, la cambrure de ses reins. Je la sens tendue au maximum sur ses talons aiguilles. Je regrette un instant de la brusquer ainsi, mais elle se met bientôt à m’encourager verbalement. Les mots sont crus mais pas vulgaires, comme si elle tenait à conserver un minimum de distinction dans cet instant bestial. Curieusement, je note que son vouvoiement m’excite.
    
    Je passe ma main sous son ...
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