1. Mon cul, pour mon mari, son patron et leurs clients. (2)


    Datte: 21/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... m’invita, si je puis dire, à venir le pomper.
    
    Sans enlever sa main de ma tête, je le sentis se raidir. Il se cambra et cria au moment où son sexe crachait en moi sa semence. Il me demanda de ne pas avaler et je fus obligée d’en recracher un peu pour lui obéir. Il maintint son sexe assez longtemps dans ma bouche où la salive s’accumulait et se mélangeait au sperme. Enfin, avant de me libérer, il me demanda de tout baver sur ses testicules, ce que je fis.
    
    — On prend un verre ? Proposa Clément quand tout fut fini.
    
    Nous poursuivîmes la soirée comme si de rien n’était, arrosant le contrat au Champagne. Clotaire et sa femme reprirent leur service mais, à la demande des Japonais, Clotaire était juste vêtu, si l’on peut dire, de son nœud papillon et sa femme juste de son tablier.
    
    Cela dura un moment, assez pour que Sonkuva se remette à bander. Je ne m’en aperçus que lorsqu’il s’approcha de moi par-derrière et me poussa vers le dossier du canapé, où je posai mes mains, pour me saillir par-derrière.
    
    Personne d’autre ne rebandait. Mon mari vint s’asseoir en dessous de moi. Je me penchai vers lui pour que nous puissions nous m’embrasser.
    
    — Tu aimes ?
    
    — Il est doué. Il aime ça le salaud !
    
    Les autres types firent cercle autour de nous jusqu’à ce que Sonkuva me transporte à nouveau dans l’orgasme et jouisse lui aussi. Contrairement à ce que je craignais, ce fut assez rapide et, cette fois, il éjacula dans mon vagin.
    
    Il demanda ensuite s’il pouvait passer la nuit ...
    ... avec moi.
    
    Il était tard, je refusai. Je voulais dormir et craignais qu’il ne passe la nuit à me lutiner. Mais je l’autorisai à venir me retrouver le lendemain matin s’il voulait.
    
    Il voulut bien et le lendemain il était là, au garde-à-vous, dès potron-minet. Mon mari et lui me baisèrent longtemps avec complicité mais avec sauvagerie.
    
    Nous quittâmes enfin la résidence après ablutions et petit-déjeuner.
    
    Avant de partir, j’entendis mon mari glisser à l’oreille de Clotaire.
    
    — Vous faites quoi le week-end prochain ?
    
    — Nous travaillons Monsieur.
    
    — Et celui d’après ?
    
    — Rien encore.
    
    — Voilà mon 06. Vous venez à la maison... histoire d’échanger... encore.
    
    — Eh bien... Avec plaisir Monsieur.
    
    — Parfait et sans chichi et plus de "Monsieur" ou de "Madame". A bientôt alors.
    
    Nous prîmes ensuite la route de Roissy. Sonkuva insista pour que je monte dans sa limousine. Dès que nous fûmes installés, il ouvrit sa braguette. On aurait dit que ce mec bandait à volonté. Je le suçai jusqu’à l’aéroport et avalai son sperme en cadeau d’au revoir.
    
    Nous attendîmes ensuite avec eux dans le salon VIP puis ils s’en allèrent en promettant de revenir et de nous inviter.
    
    En repartant, Clément exprima sa satisfaction.
    
    — L’entreprise est sauvée, grâce à vous... et j’ai passé une soirée extraordinaire. Franchement Jacques, ta femme est fabuleuse et toi Clélia, tu as un mari épatant.
    
    — C’est vrai ? Nous sommes très heureux.
    
    — Et... ça vous dirait qu’on s’occupe... ...