1. Mon cul, pour mon mari, son patron et leurs clients. (2)


    Datte: 21/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Le majordome s’approcha, sans s’être aperçu apparemment des coupables distractions de son épouse, pour mettre les draps sur le canapé et sa femme le suivit. Nous étions debout à les regarder faire, les mecs bandant comme des ânes. Un seul ne regardait pas, c’était Sonkuva qui s’était agenouillé pour me manger la chatte, et cela me faisait le plus grand bien.
    
    — Vous vous joignez à nous ? Demandai-je plaintivement.
    
    — Madame est trop bonne, mais nous ne pouvons pas !
    
    — Ben pourquoi ? Dit la soubrette.
    
    — Parce que notre contrat nous l’interdit formellement. Nous ne devons pas avoir de relations sexuelles avec les clients. On ne nous paie pas pour cela. Je ne tiens pas à perdre ma place pour une histoire de fesses... fussent-elles les plus belles au Monde.
    
    — Je ne vous plais pas !
    
    — Oh ! Que Madame se rassure, elle a tout pour plaire, je viens d’ailleurs de le dire.
    
    Mon mari s’approcha de la jeune femme. Très près.
    
    — Allez, personne ne le saura.
    
    — Désolé, Monsieur, mais c’est à mon grand regret que je dois dire non.
    
    — Déconne pas, si on a bien compris en dehors du boulot tu n’es pas contre un plan à plusieurs ! Allez Clotaire, reprit mon mari, tu bandes comme un pur-sang, parole d’honneur, ce sera entre nous. N’est-ce pas que tu bandes ?
    
    — C’est que la scène ferait triquer un mort Monsieur.
    
    Mon homme posa alors une main sur le sein de la fille qui ferma les yeux en gémissant et en se projetant en avant pour bien être en contact.
    
    — Ta femme en ...
    ... a envie et toi aussi !
    
    Puis il se mit à l’embrasser goulûment en se dirigeant de telle sorte que sa bite rencontre la main de la fille qui la saisit immédiatement dès le toucher.
    
    De mon côté, j’écartai mon bouffeur de moule et me plaquai contre le majordome. Je l’embrassai avec fougue tout en dézippant sa braguette gonflée par une forte protubérance.
    
    Il était vaincu. Il mit ses grosses mains sur mon cul et me souffla :
    
    — Je dois prévenir Madame que, sans prétention, j’ai une très grosse bite et que je vais lui éclater la chatte.
    
    — Je la sens ta grosse bite... Hmmmm.
    
    La femme, qui s’appelait Mélina, s’était déjà agenouillée et pompait mon mari. Je me baissai donc et tirai d’un coup le boxer vers le bas, libérant effectivement la plus grosse queue que j’ai jamais vue. Elle se détendit lentement en se balançant lourdement. Elle était tellement grosse qu’elle ne se relevait pas et bandait vers le bas.
    
    Je me mis à la pomper. Elle entrait avec peine dans ma bouche. Puis je la coinçai entre mes seins.
    
    Sonkuva voulut voir cette énorme matraque rentrer dans ma chatte. Il demanda au majordome de me prendre en levrette.
    
    Mon mari et Clément étaient tous deux sur la petite blondinette pendant que son mâle m’éclatait le vagin. Sonkuva tendit sa queue devant ma bouche. Je m’interrompais parfois de le lécher pour exprimer mon contentement.
    
    — N’avais-je pas dit à Madame qu’elle allait la sentir passer ?
    
    — Ah si la vache, elle est bonne ta queue.
    
    — Monsieur ...
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