1. Mon cul, pour mon mari, son patron et leurs clients. (2)


    Datte: 21/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... Téklaté veut la faveur d’une triple, intervint Tacha traduisant les désirs du chef de la délégation sexuelle nipponne.
    
    — On fait comment ? Demandai-je.
    
    — Il suggère que Clément se mette en dessous, lui au-dessus et Clotaire entre les deux.
    
    Il fut assez difficile de se mettre en position. Je m’allongeai sur Clément qui en profita au passage pour me sucer les tétons et m’embrasser à bouche que veux-tu. Le Japonais me grimpa en bouledogue et enfonça sa tringle profondément dans mon cul, jusqu’aux couilles. Enfin le grand black essaya de se frayer un chemin dans mon vagin déjà bien occupé.
    
    Sa petite femme, Mélina se prenait une double par mon mari et Itata. Elle suçait les deux autres bites à tour de rôle.
    
    Dans mon cul, le japonais se démenait alors que le black coulissait plus lentement dans ma chatte. Clément était inactif mais gémissait de plaisir.
    
    Je ne fus pas longue à jouir, sans discrétion. Cela eut pour effet d’exciter davantage encore le japonais qui me labourait la poitrine avec ses ongles ou se cramponnait à mes épaules pour me prendre comme dans un étau et s’enfoncer le plus possible. Clément ne résista pas non plus. Je sentis sa bite pulser et son sperme jaillir alors qu’il donnait des coups de bassin.
    
    Sonkuva voulut alors que Mélina vînt me bouffer la chatte pendant que mon mari continuerait de la tirer.
    
    La fille était experte. Sa langue était petite et habile. Elle me lécha délicieusement l’abricot pendant que, bien sûr je continuai de ...
    ... sucer l’inextinguible japonais.
    
    Quand il estima que ma chatte était suffisamment propre, il nous invita à nous mettre toutes les deux côte à côte, à quatre pattes, cul tendu, en échangeant nos maris. Chacune, nous avions deux bites devant nous, très agréable à pomper. J’avais bien sûr le plus vieux et le plus jeune japonais.
    
    Nos maris nous comblaient de plaisir et nous ne pûmes pas résister au désir spontané de nous rouler une pelle pendant qu’ils nous tronchaient en franche camaraderie se complimentant l’un l’autre sur leur félicité respective. Cela ne fut pas du goût de nos hôtes qui préféraient qu’on s’occupe de leurs queues.
    
    — Casse-lui le cul, ordonna mon mari.
    
    Comme s’il n’attendait que ça, le grand black commença à me forcer l’anus sans trop me ménager. Je la sentis passer et demandai du gel. Pour toute réponse, le gars fit sucer sa queue par sa femme, me cracha sur la rondelle et m’enfila à nouveau. Forcée de sucer la bite de Sonkuva par une pression phénoménale exercée sur ma tête, je ne pus protester davantage.
    
    Progressivement le type accéléra. Et, quand Sonkuva vit que j’étais plus détendue, il relâcha sa pression. Le gars me labourait l’anus et me secouait tellement que j’avais du mal à sucer.
    
    Sonkuva organisa alors une tournante.
    
    Cul contre cul, Mélina et moi enchaînions les queues dans nos trous respectifs, un peu plus souvent dans le cul que dans le con.
    
    Alors qu’il me limait encore le trou de balle presque à le déchirer, le majordome arriva ...
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