1. Le commencement de la fin (ou le contraire)


    Datte: 21/11/2018, Catégories: fh, fplusag, hagé, fagée, frousses, inconnu, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, plage, campagne, voyage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, portrait, Humour Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... mes lunettes de soleil pour voir si Brigitte n’allait pas prendre ses jambes à son cou en apercevant mes valises sous les yeux.
    
    Apparemment, cela ne sembla pas la rebuter car elle commença à se déshabiller dès notre arrivée à l’arrière de la maison, pour profiter de la terrasse baignée de soleil qui donnait sur ma pelouse.
    
    Je fus nu le premier. La jupe plissée et le chemisier posés sur la table du salon de jardin, Brigitte enleva sa petite culotte en coton fleuri sans aucune pudeur, mais elle se débattit avec la fermeture récalcitrante de son soutif que je dus libérer. Après m’avoir laissé me goinfrer de ses grosses mamelles, ses ballerines rouges aux pieds, elle m’entraîna sur la pelouse vers mon bain de soleil, qu’elle élut comme lieu de luxure. Brigitte prit la direction des opérations en me demandant de m’allonger sur le coussin et de la laisser débuter les préliminaires.
    
    Elle se pencha sur mon cas au sens propre comme au sens figuré, histoire de me prouver que la fellation ne la rebutait en aucune façon. Le pénis bien tendu vers le ciel d’un bleu de rêve, je vis Brigitte se redresser puis passer la jambe gauche au-dessus du bain de soleil. Elle m’invita à me glisser sous elle en ouvrant ses jambes anormalement musclées. La foufounette collée sur mes lèvres, les bras tendus pour que mes mains englobent les gros nichons, je fis de mon mieux. Elle devait utiliser de la Soupline au parfum muguet pour ses petites culottes. Je commis involontairement un impair car, ...
    ... quand elle sentit mon index pénétrer et visiter son petit trou du cul, madame n’apprécia pas vraiment ; mais bon… Finalement, elle me tira les bras pour me faire asseoir au bout du bain de soleil avant de s’empaler sur mon membre et de jouer à l’ascenseur, s’appuyant sur mon torse. Je n’avais qu’à la laisser se satisfaire toute seule mais je n’étais pas à l’aise, les testicules coincés entre mes cuisses. Je l’ai donc invitée à faire une pause avant de me relever et de la plaquer sur la table en plastique du salon de jardin. Je lui ai conseillé de s’accrocher aux bords de la table car ça allait chahuter, vu que j’avais déposé ses jambes sur mes épaules et que je m’agrippais à ses nichons pour conclure en beauté ma prestation.
    
    Brigitte reprenait son souffle, assise sur la table ; je me débarrassais du préservatif qu’elle m’avait imposé quand elle sauta précipitamment à terre pour foncer sur les autobloquants de mon allée de jardin. Elle me tourna le dos et, en fléchissant les jambes, très honteuse, elle avoua qu’elle était vraiment désolée mais que c’était urgent ! Madame faisait un gros pipi. On ne peut pas dire qu’elle apprécia vraiment mon apparition inopinée en face d’elle alors qu’elle était en pleine action, sa petite fente libérant un jet puissant qui rebondissait sur le sol et éclaboussait ses horribles ballerines rouges.
    
    Le lendemain matin, juste avant de partir bosser, Brigitte me téléphona, bien contente de m’avoir au bout du fil. Elle m’expliqua, bien embêtée, ...
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