Mords-moi (2) - Histoires de Sexe

Mords-moi (2)

... sur ma gorge. Elle se pencha elle-même sur mon épaule qu’elle avait découverte avec son autre main et me remordit.

C’était intensément bon. Je pus m’abandonner totalement à ses morsures, assise sur ce banc, la tête posée contre le bois. Elle me mordait à différents endroits de mon épaule à mon cou, prenant ma peau entre ses dents quelques secondes à chaque fois avant de relâcher et de repartir chercher un autre bout de peau à dévorer. Je sentais mon épaule parcourue de petites ondes de douleurs, autant d’alertes de mon corps à mon cerveau lui indiquant de réagir au plus vite. Je soupirais et gémissais en la laissant continuer. Je sentais l’adrénaline et l’endorphine envahir mon sang pour tenter d’aider mon corps à combattre l’agression. J’avais extrêmement mal et j’étais ivre de plaisir.

Je finis par relever doucement la tête et la repoussait doucement avec une de mes mains. Elle releva aussi la sienne et me regarda avec un grand sourire. Elle semblait ivre elle aussi, ivre du pouvoir qu’elle avait sur mon plaisir, ivre de contrôle qu’elle exerçait sur mon corps. Je lui souris à travers le brouillard de plaisir et douleur entremêlés qui continuait de résonner dans ma tête et elle répondit à ce sourire en m’embrassant. Je me sentais trop comateuse pour répondre et je la laissais me rouler une énorme pelle sans rien faire. Elle finit par me mordre légèrement, mais fermement la lèvre et je la repoussais en riant doucement : « Pas trop d’un coup s’il te plaît »Elle rit ...

... aussi, se redressa, m’aida à me relever et nous reprîmes notre chemin.

A peine arrivées chez elle, nous avions déjà commencé à nous déshabiller. Elle n’avait pas attendu et s’était jetée sur mon cou dans l’ascenseur pendant que nous montions jusqu’à son 5ème étage. Une fois passée la porte, elle m’avait plaquée contre le mur le plus proche et avait recommencé à me mordre pendant que nos mains respectives enlevaient les vêtements de l’autre.

Je me retrouvais vite torse nue face à Lucie dans la même tenue. Je découvrais ses seins sublimes, une taille et une forme parfaite et m’abîmaient dans leur contemplation en lui caressant doucement les fesses à travers son pantalon. Elle n’était elle-même pas en reste et avait attrapé un de mes propres seins qu’elle caressait doucement. Elle finit par prendre mon téton entre ses doigts et pinça doucement en me regardant dans les yeux. Je tentais de contenir toute réaction, mais je finis par laisser échapper un gémissement de douleur qui la fit rire de satisfaction.

Elle baissa son regard et vit alors les marques qu’elle m’avait faites sur le cou et l’épaule pendant que nous marchions dans la rue. Elle ouvrit grand les yeux et s’exclama :

— Oh merde, je ne t’ai pas loupée, t’as vraiment des marques partout sur le torse !

J’allumais la lumière et me déplaçais vers le grand miroir au milieu de son salon pour voir qu’effectivement, mes deux épaules et mon cou s’ornaient de petites taches sombres en forme de cercles, les plus ...