1. L'autocar


    Datte: 11/02/2018, Catégories: f, fh, inconnu, bus, Oral pénétratio, fdanus, occasion, Masturbation Auteur: Aubaine, Source: Revebebe

    ... lascivement, tandis que la seconde main s’aventurait dans l’échancrure du chemisier. Les fleurs ondulèrent sous cette délicieuse intrusion. La respiration se fit chaloupée et profonde. Les lèvres sèchent s’humectèrent de l’avidité de la langue, et le corps s’ouvrit davantage à la pensée d’une autre langue lapant sa petite chatte excitée.
    
    Le chauffeur ne perdait rien de cette scène aussi inattendue qu’exquise. Il ne voyait que le visage de sa passagère mais la danse de la langue sur ses lèvres lui laissait imaginer facilement ce qui se passait plus bas. Il avait ralenti, ne conduisant plus que d’une main et caressant son sexe tendu de l’autre. Sa pomme d’Adam montait et descendait avec peine tant sa gorge était sèche… aussi sèche que devait être mouillée la petite culotte dont il imaginait écarter la dentelle pour déguster le nectar féminin. Il lui semblait même entendre des soupirs et des gémissements, chose impossible tant son tacot était bruyant ! Son jean était comblé de désir et commençait même à souffrir du manque d’espace. Ralentissant un peu plus, il libéra son pénis qui érigea fièrement toute son excitation. Le gland luisait déjà. Sa main enserra sa virilité et se mit à aller et venir en douceur. Le plaisir était intense et il sentait ses testicules s’en gorger dangereusement…
    
    Puis elle rouvrit les yeux et leurs regards brillants se mêlèrent, s’emmêlèrent, se libérèrent. Un consentement silencieux l’autorisa à garer en catastrophe sa monture brinquebalante sur ...
    ... le côté de la route. Il se leva, le pantalon ouvert sur son sexe bandé, et avança nonchalamment dans le couloir du bus, les yeux rivés à ce visage tendu par l’émoi et l’impatience. Le joli spectacle de la jupe relevée haut sur les cuisses et de la main perdue dessous lui vrilla le cerveau et, la faim au ventre, il se laissa tomber au sol pour enfouir sa bouche dans cette onctuosité fébrile. Les gémissements qu’il avait si bien imaginés déferlèrent aussitôt. Il suçait avec délectation le téton intime durci puis sa langue s’engouffrait sans retenue dans cette gorge bouillante. Ses mains avaient happé une paire de fesses rebondies et fermes qu’elles enchâssaient avec fermeté pour épanouir davantage le fruit juteux qu’il savourait. Les gémissements se firent cris et il sentit la jouissance éclater dans sa bouche. Alors seulement il se releva et embrassa voluptueusement sa divine passagère pour partager son festin avec elle.
    
    Les mains de la jeune femme s’arrimèrent alors au sexe masculin et s’emballèrent d’un désir vorace de sentir la chaleur du plaisir sur ses cuisses. Mais l’homme se retira avant, la souleva tendrement, la mena dans le couloir, la retourna, caressa longuement sa nuque et son dos, effleura sa petite fleur secrète, y pénétra un doigt indiscret, l’y promena avec suavité et délicatesse tandis que d’autres revisitaient le vagin assailli de sursauts d’excitation. Puis il abandonna ses proies pour s’ancrer sur la poitrine généreuse et enfoncer son sexe ardent dans la ...