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L'autocar
Datte: 11/02/2018, Catégories: f, fh, inconnu, bus, Oral pénétratio, fdanus, occasion, Masturbation Auteur: Aubaine, Source: Revebebe
... naturelle qui la fit frémir elle-même. Et comme par connivence avec cette sensation naissante, un léger vent se glissa sous sa jupe et s’invita à l’orée de son intimité. Elle serra ses jambes et un soupir échappa à ses lèvres gourmandes, pour se noyer aussitôt dans le vrombissement lointain d’un moteur… Mon Dieu, elle n’y croyait pas ! C’était donc ça qui était censé la mener à bon port ? Elle regardait d’un air incrédule s’avancer la ferraille ambulante poursuivie d’un opaque nuage de poussière. La chose s’arrêta avec fracas devant elle, l’engloutissant dans une traînée âcre qui la fit tousser comme une dératée, les yeux embués de larmes d’irritation. Elle ne reprit sa respiration que pour mieux la reperdre en voyant le bel homme qui avait sauté à ses pieds. — Bonjour m’zelle ! Je peux vous aider à monter votre sac ? Il avait l’accent peu noble de la région mais, étrangement, sa voix rocailleuse raisonna jusqu’au tréfonds de son ventre. Lorsqu’il se pencha pour saisir le sac, son parfum musqué flotta sur l’air gorgé de soleil et l’enivra d’un long frisson. Le jeune homme suspendit son geste et elle comprit alors qu’il avait senti son trouble. Histoire de reprendre le dessus, elle le bouscula presque pour monter précipitamment dans le bus ; mais ses jambes lassées d’attente la trahirent et elle s’étala de tout son long sur le marchepieds ! Rouge de honte, elle se redressa, bondit dans le car et fila se jeter sur un siège, dix rangées derrière le chauffeur. ...
... Celui-ci monta sans se presser, un sourire ironique aux lèvres. Il posa le sac sur le fauteuil derrière lui puis se mit au volant. Il avait une façon désespérément calme de faire ces gestes et ne lança même pas un regard à la pauvre jeune femme qui cachait de son mieux le rouge de ses joues derrière le dossier du siège devant elle. La machine se mit en marche en crachant des volutes de fumée puis s’ébranla avec peine et tintamarre. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes qu’elle se redressa enfin. Elle serait bien allée chercher son sac pour boire mais elle ne voulait en aucun cas avoir à faire au chauffeur… Où plutôt si ! À cette pensée la brûlure de son ventre se fit plus forte que celle de ses genoux que sa chute avait égratignés. Instinctivement, elle serra ses cuisses sur cette chaleur fiévreuse. Elle osa un regard vers l’avant et croisa un regard souriant dans le rétroviseur ! Elle s’empourpra à nouveau et ferma les yeux pour fuir ces yeux si troublants. Bientôt le cahin-caha du car la plongea dans une torpeur bienfaitrice. Sa main posée sur sa cuisse s’alourdit puis glissa le long de la jupe soyeuse. Lorsqu’elle rencontra la peau douce et chaude, les doigts remontèrent cette rivière de soie et s’éclipsèrent sous la dentelle frivole. Ils titillèrent le clitoris déjà onctueux de désir, puis s’échappèrent dans la fente généreuse, laissant le petit bouton gorgé aux caresses d’une paume avertie. Les jambes s’écartèrent et les hanches se mirent à tanguer. Le dos se cambra ...