1. Lettre à une jeune femme


    Datte: 19/11/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, noculotte, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, yeuxbandés, exercice, tutu, délire, Auteur: JE_de_masque, Source: Revebebe

    ... maintenant, dedans et dehors.
    
    Certains prennent les chemins de traverse, moi je me contente des chemins de travers. Ils sont beaux parfois. La voiture, tes jambes nues. Le chemin s’écarte de la route principale. Ma main te caresse depuis quelques kilomètres déjà, ton string est trempé. L’herbe fraîche. Je caresse tes seins, je les trouve beaux. Et puis tu en as envie, là, maintenant, alors… Je te prépare doucement avec mes doigts. Mon sexe pénètre ton cul pour la première fois. Une hésitation. Malgré l’appréhension, tu aimes. Lui ne veut pas, alors… c’est moi qui te prendrai comme cela. L’interdit est brisé, un de plus…
    
    La connaissance est le début de la sagesse… Pas pour eux, ils n’auront droit qu’aux larmes.
    
    Mon sexe dans le tien. Mon sexe dans ta bouche. Ton plaisir. Ma main sur tes seins. Ma langue te caresse. Mon plaisir. Ma queue dans ton cul. Mon sperme sur ta joue. Ton orgasme. Tu veux que je te prenne en levrette. Ta jupe relevée pour te prendre dans un bureau. Mon orgasme.
    
    Une connaissance commune et puis nous voilà tous, toi, moi, elle, lui. L’imposture ultime, celle qui va nous brûler. Les visages du plaisir sont remplacés par les masques ; ne pas voir, ne pas entendre. Le monde vient de se contracter sur nous. Je me hais, non reste encore, je te voudrais, rien de tout ça n’existe sauf dans mon esprit, je mens, je l’aime, caresse-moi, non merci je n’ai plus faim, j’espère qu’on se reverra une autre fois. Merci pour cette agréable soirée.
    
    Ce texte n’a aucun sens pour vous (toi). Rassure-toi pour moi non plus. Le sens n’est d’ailleurs qu’une histoire qu’on se raconte a posteriori pour mettre du baume sur nos incohérences, nos doutes, nos pulsions, nos vols planés la tête en première. C’était bien tout de même de se perdre, il ne reste plus qu’à retrouver le chemin de nos vies.
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