1. Appât pas à pas


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fhhh, inconnu, telnet, fsoumise, humilié(e), noculotte, vidéox, pénétratio, yeuxbandés, policier, tarifé, fsoumisah, Auteur: Resonance, Source: Revebebe

    ... PROMET Q ! APRES
    
    Mathilde reprit, d’un ton pitoyable, qui pouvait assez bien passer pour du regret.
    
    — Croyez-moi, je regrette vraiment de ne pas pouvoir le faire. Je serais tellement excitée demain en pensant à tout cela… j’aimerais mettre mon corps à votre disposition. Mais je ne peux vraiment pas… Si j’invente quelque chose pour changer mes plans à la dernière minute, je serais mal à l’aise, je risque d’attirer la suspicion, et dimanche je ne pourrais plus me libérer. L’idée que vous avez eue pour dimanche est tellement… géniale. Je ne voudrais pour rien au monde manquer cela. Si je cours des risques samedi, tout pourrait échouer… Après… je saurai vraiment qui je suis. Et si je suis vraiment la putain que je crois être, ce sera un merveilleux moyen de finir la journée. Je prévoirai du temps dimanche… en fin d’après-midi.
    
    Marc en avait la mâchoire pendante. Pas sûr que cela marche, mais dans la catégorie des dégagements en touche du genre « Pas maintenant, jeune homme, on verra plus tard », c’était un des plus beaux morceaux de mauvaise foi féminine qu’il avait jamais entendu. Après un long silence, Klein reprit.
    
    — Bon, on en reparlera dimanche. Soyez à quinze heures précises à la station que vous connaissez si bien. Vous viendrez habillée de façon sexy, montrez vos jambes, mais restez sobre. Je vous emmènerai à partir de là.
    
    Il y avait une chance que Klein ne l’ait pas crue et soit persuadé qu’elle le trouvait physiquement déplaisant, et cela devait le ...
    ... vexer. Mais peu importait, après réflexion il se rappellerait que son problème le plus pressant était de trouver un nouveau gagne-pain à jeter en pâture au milieu, pas une nouvelle maîtresse.
    
    — Sur l’aire d’autoroute, il n’y a pas de risque de tomber sur des policiers ?
    
    Marc avait à nouveau une déglutition difficile. Elle était gonflée, quand même.
    
    — Si cela se produisait, nous avouerons être un couple se donnant des émotions fortes avec des camionneurs. Vous avez l’avantage de ne pas ressembler à la putain que vous êtes. Faites-moi confiance. Je vous envoie un message de confirmation demain après-midi, mais soyez prête, seule l’heure peut changer un peu.
    
    Il se déconnecta.
    
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    Vendredi, 17 h 30
    
    Marc resta le dos tourné pendant que Mathilde se rhabillait. N’entendant plus le froissement de l’étoffe, il éteignit la caméra et se retourna.
    
    — Vous avez été vraiment très bien.
    
    Mathilde se tenait debout, tremblante. Elle semblait avoir des difficultés à s’exprimer. Marc réprima une pulsion instinctive de la prendre dans ses bras et de la consoler, mais dieu sait comment elle aurait réagi. Elle sembla avoir perçu cet élan réprimé, et lui fit un pauvre sourire.
    
    — C’était vraiment… elle chercha ses mots… sur un fil… par moments. Se concentrer très fort et imaginer être l’autre… mais ce qui est compliqué, c’est qu’on ne peut pas l’être tout à fait, il faut aussi penser à la mission à accomplir. On ne peut pas juste se laisser aller, il faut ...
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