Appât pas à pas
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
telnet,
fsoumise,
humilié(e),
noculotte,
vidéox,
pénétratio,
yeuxbandés,
policier,
tarifé,
fsoumisah,
Auteur: Resonance, Source: Revebebe
... De quoi avez-vous peur ?
— Qu’il ne me parle pas le premier ! Parce que moi je n’oserai jamais.
— La politesse vous aiderait. Un « Bonsoir », cela ouvre des portes… Ensuite ?
— Il faudrait parler prix, et là, pour moi c’est le blocage total. Je ne pourrais pas.
Marc approuva.
— Oui, c’est plutôt délicat. Supposons qu’il vous propose de lui-même une somme qui vous convienne. Quelle est votre peur, ensuite ?
— Une somme qui convienne ? Il y a plusieurs… prestations possibles, je crois. Il pourrait me demander… quelque chose que je ne voudrais pas faire.
Marc était surpris, elle pensait aux détails, était réaliste. Apparemment, elle avait vécu ces scènes en imagination, c’était bien plus qu’il avait espéré.
— On dit que toute femme a un prix… toute « prestation » aussi, peut-être. Mais vous pourriez aussi en refuser certaines, cela fait partie de la négociation.
— C’est cette « négociation » qui me fait particulièrement peur ! On dit aussi que certains clients demandent des rapports non protégés, et ça, c’est le tabou absolu.
— Oui, mais les filles qui tiennent à leur peau refusent fermement. Là, la conduite à tenir est simple. Admettons que la négociation se soit bien terminée. Qu’est-ce qui vous fait le plus peur ?
Mathilde rougit jusqu’aux oreilles.
— Eh bien, ce n’est pas facile à dire…
— Faites un effort, vous êtes en train de vivre votre fantasme… Dites-moi.
— Eh bien, j’aurais peur de décevoir. De ne pas donner satisfaction pour l’argent ...
... reçu.
Marc s’attendait à tout, sauf à cela. Mais peu importait, il avait l’essentiel.
— Bon, on va utiliser vos craintes pour piéger Klein. À part la dernière qui ne s’applique pas à notre plan et qu’on n’a aucune raison de mentionner, toutes sont plausibles et légitimes. En particulier, il faut qu’il paraisse à la fois naturel et indispensable que ce soit lui qui traite tous les aspects financiers. Je vais quand même ajouter la peur physique, car MLF n’a pas votre entraînement au combat.
Même avec vingt kilos de plus, et une bonne condition générale, Marc ne se serait jamais risqué à une lutte à mains nues avec Mathilde.
Marc recommença à écrire :
— Et voilà, dit Marc. Klein, lui, est rompu aux transactions financières de ce petit commerce. C’est votre complément idéal, en quelque sorte. Je suis sûr qu’il va proposer son aide.
Il rendit le clavier à Mathilde. Celle-ci relut le bref message. Elle sembla hésiter à ajouter quelque chose, mais finalement n’en fit rien, et l’envoya.
Ils avaient cette fois l’avantage de savoir à peu près quand Klein répondrait. Marc décida d’en profiter.
— Je vais faire un tour du service, j’ai une ou deux demandes d’aide en cours. Puis j’irai voir les princesses mages avant de déjeuner. Depuis mardi, j’ai eu très peu de temps à leur consacrer. Prévenez-moi s’il répond.
— J’ai des choses à faire aussi, à tout à l’heure.
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Vendredi, 14 h
Marc retrouva Mathilde toujours installée dans son donjon. La ...