1. Appât pas à pas


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fhhh, inconnu, telnet, fsoumise, humilié(e), noculotte, vidéox, pénétratio, yeuxbandés, policier, tarifé, fsoumisah, Auteur: Resonance, Source: Revebebe

    ... réponse de Klein n’était pas encore arrivée.
    
    — Vous vous rappelez que nous savons récupérer un dépôt sur le site de partage de fichiers que Klein a utilisé avec Marie-Claire. Le problème, c’est qu’à l’époque où Klein l’utilisait, on ne savait pas qui il était, et elles ont toutes été retirées depuis.
    — Et alors ?
    — Eh bien, à l’époque où j’avais mis au point la procédure, Nora et moi avions fait quelques essais, en sélectionnant des fichiers un peu au hasard, mais provenant d’internautes de la ville. On en avait trouvé un ou deux croustillants…
    — Ce n’est pas vraiment légal, il me semble…
    — Il fallait bien faire des essais… Tout ce qu’on a ramené a été détruit, mais Nora a gardé deux vidéos, contre la consigne, mais finalement… Je crois bien que c’est la séance de mise aux enchères de Marie-Claire.
    — En quoi ces vidéos peuvent-elle nous aider à notre enquête ?
    — À comprendre un peu mieux Klein et ses manipulations… à observer Marie-Claire et son comportement. À vous de décider si vous voulez la voir. De toute façon on attend la réponse de Klein, alors…
    
    Mathilde hésitait visiblement.
    
    — Comment se fait-il que vous n’ayez pas reconnu Marie-Claire si vous l’aviez déjà vue en vidéo ?
    — Je n’avais pas fait spécialement attention à l’époque, et puis son visage y est masqué. Vous voulez la voir, ou pas ?
    — Allons-y…
    
    La vidéo, de qualité moyenne, débutait par un gros plan d’une table et de cartes, s’en éloignait, révélant en partie trois hommes, sans les têtes, ...
    ... hors du champ. Puis, la caméra pivotant fit apparaître une femme, debout, au visage et aux cheveux masqués par un grand foulard, seule la bouche étant visible. C’est la posture de la jeune femme qui la rendait la plus reconnaissable – le port altier, maintenu quelles que soient les circonstances, qui semblait être une seconde nature chez elle. Elle portait un ensemble, jupe longue et chemisier, assez stricts, qui auraient très bien pu être sa tenue d’institutrice. Ses chaussures étaient presque plates, contrairement aux talons qu’elle avait portés en venant à la Gendarmerie. Marc supposait que ceux-ci était peu adaptés aux heures passées debout sur une estrade. Sortait-elle du travail lorsque la vidéo avait été filmée ?
    
    La vidéo était muette. Sans doute sur un ordre reçu, Marie-Claire se tourna sur la droite, puis, de profil, commença à se déshabiller, chemisier, puis chaussures, puis jupe, puis soutien-gorge, puis culotte – ses sous-vêtements étaient en dentelle, très sexys dans un style légèrement démodé, mais d’excellent goût.
    
    L’homme qui tenait la caméra se déplaça légèrement, prenant un angle de trois quart gauche qui montrait ses seins magnifiques, un pubis épilé, et des jambes harmonieuses.
    
    Marc réalisa que l’angle de prise de vue empêchait – tout juste – de voir la cicatrice qu’elle portait sur le flanc droit. C’était probablement volontaire.
    
    Sans doute sur une injonction, Marie-Claire se tourna ensuite, dos à la caméra.
    
    Elle avait vraiment un joli corps… ...
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