1. Libertinage puritain


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, fhh, religion, nympho, hotel, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation double, exercice, confession, Humour initiatiq, Auteur: Collectif Antilogies, Source: Revebebe

    ... merveille et soudain… le couvent !
    — Elle sera vite abbesse, votre famille…
    — Non point ! Elle entend être cloîtrée, morte au monde. Ma fille est une écervelée ! Ah ! Que je suis malheureuse !
    — Désirez-vous que je tente de la raisonner ?
    — Elle ne voudra jamais converser en tête-à-tête avec vous. Votre réputation de libertin…
    — Exposez-lui qu’une vertu si craintive ne saurait être bien solide, si elle empêche une jeune fille de bavarder dans un salon avec un homme du monde qui sait se tenir, même si bien des femmes le trouvent à leur goût.
    — Vous serez toujours un jeune fat, baron !
    — Vous-même, il m’en souvient, n’avez pas toujours été dédaigneuse…
    — Plus un mot ! Je vais tenter de la convaincre. J’ajouterai que je serai dans la pièce voisine, et qu’elle n’aura qu’à m’appeler si vous devenez trop entreprenant.
    
    ***
    
    — Que me voulez-vous, baron ?
    — Vous faire mes adieux, jeune Bénédicte, puisque vous rentrez au couvent.
    — Eh bien, adieu, baron !
    — Oh ! Ne fuyez donc pas si vite ! Ne pouvez-vous pas me faire l’aumône de quelques minutes de votre présence, vous qui serez morte au monde dans quelques jours ?
    — Soit. Qu’avez-vous à me dire ?
    — Je connais les raisons de votre décision.
    — Ah oui ?
    — Et je ne les trouve pas convaincantes.
    — Peu m’importe.
    — Renoncer aux plaisirs de la chair n’est que bien peu de chose quand on ne les a pas connus. Votre sacrifice serait autrement grand si vous saviez ce que vous offrez à Dieu.
    — Mais qui vous dit que je ne le ...
    ... sais pas ?
    — Le jeune vicomte Gontran prétend en ville que vous êtes bossue !
    — Le fourbe !
    — Que votre sein droit est plus petit que le gauche. Que son téton reste désespérément plat.
    — Mensonge !
    — Il ne les a donc pas sucés, vos tétons ?
    — Jamais ! Jamais ! Enfin… pas vraiment.
    — N’a-t-il pas soulevé votre cotillon, glissé un doigt fureteur dans votre intimité, n’y aurait-il pas mis la langue ?
    — Mais non ! Il a tenté de le faire, certes, mais je l’en ai empêché.
    — C’est bien ce que je pensais. Votre sacrifice est de piètre valeur, vous renoncez à des plaisirs que vous ignorez.
    — Si je les connaissais, j’y renoncerais quand même.
    — Permettez-moi d’en douter… Il est vrai que lorsque l’on craint de ne les goûter jamais, parce que l’on a un sein plus gros que l’autre…
    — Mais regardez-les donc, mes seins et dites-moi si le droit est plus gros que le gauche, ou l’inverse, je ne sais plus !
    — Ils sont fort beaux, au contraire. Mais insensibles, paraît-il. Y porter la bouche n’en fait pas ériger les pointes.
    — Voyez-vous-même !
    — En effet. Gontran en aura donc menti. Roulant sous ma langue, vos tétons sont gros et durs à souhait.
    — Il suffit, maintenant.
    — Point encore. Souffrez que je persiste, votre sacrifice n’en sera que plus grand.
    — Il suffit, vous dis-je.
    — J’obéis. Je n’ose vous répéter ce que Gontran prétend en outre.
    — Dites.
    — Vous auriez sous votre robe quelque chose de repoussant… Est-ce devant, est-ce derrière, Gontran ne le précise pas.
    — Eh ...