1. Qui suis-je vraiment? 07


    Datte: 16/11/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRealbluetit, Source: Literotica

    ... de son pantalon.
    
    Son pénis n'eût dés lors pas de mal à rentrer dans mon vagin. Toujours courbée je sentis très rapidement son ventre frapper mes fesses. Ses mouvements étaient fermes mais délicieux, il emplissait une bonne partie de mon vagin, quant à son bout il frappait à chaque fois mon utérus. Oui c'était exquis et j'espérais que cela dure le plus longtemps possible.
    
    Mais Nietzsche ne l'entendais pas ainsi et m'indiqua qu'il était temps travailler un peu, en d'autres termes de le sucer pendant que le vendeur me pénétrait de plus en plus vigoureusement.
    
    Avec les coups de butoir du vendeur je m'empalai littéralement contre le sexe déjà bien ferme de mon amant. Ce dernier pour affirmer sa position de dominant enserra alors ma tête de ses mains pour imprimer la vitesse à laquelle je devais pratiquer mes caresses buccales.
    
    En fait quand le vendeur se retirait de mon vagin, je m'occupais du bout turgescent de Nietzsche en passant la langue brièvement dessus. Et quand il me pénétrait j'avalai la hampe jusqu'à son pubis. J'étais prise des deux côté tel un poulet au tournebroche. Situation qui naguère m'aurait choquée était devenue une position génératrice de plaisir.
    
    La jouissance vint rapidement mais elle n'arrêta point mes acolytes qui me forcèrent à m'agenouiller pour recevoir leur semence sur le visage.
    
    - Nietzsche : Merci Laurence. Tu peux te nettoyer en mangeant le savoureux liquide que tu as sur ton visage.
    
    - Vendeur : Tu as l'air bien gourmande je ...
    ... suis sûr que tu ne laisseras aucune miette.
    
    Passant mes mains sur mon visage je recueillis la dite substance et passais la langue pour pouvoir l'avaler. Pour finir ils passèrent un mouchoir afin de faire disparaître les dernières traces de leur éjaculation.
    
    - Nietzsche : Laurence. Mets maintenant la robe.
    
    Sans aucune pause, je me relevais et essayais le vêtement présenté.
    
    - Vendeur : Comme vous le voyez elle est suffisamment transparente pour que l'on devine ses dessous, en particulier à contre-jour.
    
    - Nietzsche : Oui je vois çà. Cela me plaît tout à fait.
    
    - Vous voyez cette accroche en haut?
    
    - Oui je vois.
    
    - Dégoupillez-la!
    
    En un dixième de seconde, la partie avant de la robe s'affaissa dévoilant mon soutien gorge. Un rectangle de 10 cm de haut et de la largeur de mon corps avait disparu rendant cette robe très impudique.
    
    - Vendeur : Alors qu'en dites vous?
    
    - Nietzsche : J'adore, en plus elle lui va comme un gant.
    
    - Attendez ce n'est pas fini.
    
    - A bon?
    
    - Regardez cette cordelette.
    
    - Oui.
    
    - Tirez dessus d'un coup sec.
    
    Sans que j'ai eu le temps de réagir la robe se releva tel un rideau de théâtre jusqu'au haut de mes cuisses. Mais comble de l'exhibition en son centre le tissu était remontait au dessus de mon sexe.
    
    - Nietzsche : Je n'ai qu'un mot ... Bravo. Je l'achète.
    
    - Vendeur : Je vous conseille avec cela une guêpière en cuir.
    
    - Pourquoi pas.
    
    Ils me firent par conséquent essayer cette guêpière qu'ils serrèrent au ...
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