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Qui suis-je vraiment? 07
Datte: 16/11/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRealbluetit, Source: Literotica
... dehors. - Ca te maintiendra éveillée. C'est donc cul nul que je rentrais chez moi, prête à m'exhiber intégralement quand mon maître pourrait me l'ordonner. Costume théâtral: Cela se produisit une semaine plus tard. Un soir, sur les coups de 18H00, Nietzsche m'appela pour passer la soirée ensemble. Ce qui m'intrigua tout particulièrement fût le fait que Nietzsche me laissa libre des vêtements que je devais porter. J'optais donc pour des bas auto-fixants assortis d'une culotte Tanga en dentelle. Comme cela je respectais le contrat tacite avec mon amant mais je me donnais un peu de liberté par rapport aux règles strictes de mon maître. Par-dessus, je me décidais de porter une robe souple et longue mais ouverte devant jusqu'au genou du fait des boutons laissés défaits. Cette robe allait d'autant plus le charmer qu'au-delà de mes hanches elle épousait particulièrement mon corps et de fait mes seins. Cela soulignait par là même le soutien-gorge noir en dentelle qui les retenait. Une fois habillée, je descendais donc laissant mon enfant dans les mains de sa nounou favorite. En attendant dehors sur le trottoir je compris que la liberté donnée par mon maître ne m'avait pas fait choisir pour autant la tenue la plus confortable, mais une tenue bien sexy pour la saison. En effet je sentis l'air glacial s'infiltrer entre mes jambes, me rappelant qu'elle nouvelle femme j'étais devenue. Sur ces réflexions il arriva et stationna à quelques mètres de moi. Il ...
... prît alors la peine de sortir de la voiture pour m'ouvrir la porte. Il me demanda seulement de remonter ma jupe afin que mes fesses soit à même le siège. Sans rechigner je remontais immédiatement le tissu, lui laissant admirer mes jambes gainées jusqu'à mi-cuisse ainsi que ma fine culotte. Sans un mot et sans me laisser le temps de m'asseoir, il prît le bout de dentelle remontant de mon entrejambe et le tira d'un coup sec afin qu'il s'immisce dans mes fesses et ma vulve. J'eus un sursaut mais ne réprouva pas le geste. C'est donc le bas-ventre cisaillé que je m'installais dans la voiture. Remonté à son tour dans l'automobile, il démarra et se dirigea vers Paris. - Nietzsche : Remonte ta jupe pour dévoiler le haut de tes bas aux passants. Je respectais ses ordres à la lettre et d'un mouvement lent je rehaussais le tissu jusqu'à la lisière des bas. Le noir tranchait d'autant plus avec la blancheur de mes cuisses. Le fait de respecter sans mot dire ses demandes, le satisfit pleinement. Il en profita alors pour entamer la discussion. - Nietzsche : Je ne t'ai pas trop manqué Laurence? - Moi : Si, un peu ... même beaucoup Nietzsche. - En attendant que nous arrivions je veux que tu écartes tes jambes et que tu te caresses. - Mais où allons-nous. - Surprise!!! Ne cherchant pas en savoir plus je commençais à me caresser dévoilant ente çà et là ma culotte aux voyeurs occasionnels ou à deux motards chanceux. - Nietzsche : Mais tu t'es épilée! ... Je t'en ...