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Qui suis-je vraiment? 07
Datte: 16/11/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRealbluetit, Source: Literotica
... remercie. - Moi : Oui et l'esthéticienne a tenu à ce que je vous donne sa carte de visite pour que vous la contactiez si vous souhaitez parfaire mon éducation entre femmes. - Parce que tu as eu une relation lesbienne. - Euh oui elle m'a forcée. - Te connaissant elle n'a pas eu grand mal ...et je suis sûr que tu as aimée te faire bouffer la chatte ou l'inverse. Bien visé comme d'habitude, je baissais donc les yeux avouant ostensiblement ma faiblesse. Nous arrivâmes après 20 minutes de route devant une petite boutique aux vitres fumées. Il me fît rentrer dans ce magasin dont le propriétaire la cinquantaine aux cheveux grisonnants semblait nous attendre. - Nietzsche : Bonsoir, je vous présente Laurence, ma compagne. - Vendeur : Bonsoir Monsieur, bonsoir Laurence. Que recherchez-vous? - Je cherche une tenue pour révéler ses charmes cachés mais aussi un vêtement qui puisse disparaître d'un seul geste. - J'ai ce qu'il faut pour vous je crois. Sur ces entre faits il partit dans la remise chercher le dit objet. Passé la joie d'entendre Nietzsche me nommer sa compagne, je fus refroidie par l'objet qu'il souhaitait m'acheter. Mais je compris vite que le magasin était spécialisé dans ce domaine. Entre le cuir et la transparence, il y avait peu de place pour le pull col roulé en laine. De retour, il me tendit le vêtement à essayer. Je cherchais vainement la cabine d'essayage quand le vendeur me dît : - Vendeur : Si vous cherchez une cabine ...
... d'essayage, il n'y en a pas ici. - Nietzsche : Tu ne vas pas faire ta mijaurée maintenant. Mets-toi à poil ici! Je me dénudai donc sous leur yeux défaisant un à un les boutons. Je ne devais pas aller suffisamment vite car mon amant écarta vigoureusement les pans de ma robe et tira dessus pour qu'elle tombe à mes pieds. Le vendeur bras croisé se régala de la brusquerie à laquelle Nietzche m'avait dessapé. Son regard en fût d'autant plus avide à mon encontre. Un peu déboussolée, je me penchais en avant pour enrouler un à un mes bas. Dans un telle posture, le vendeur prît alors la liberté de passer la main sur mes fesses puis brusquement agrippa mon Tanga pour le descendre au niveau de mes mollets. Je tentais de me relever mais mon mouvement fût immédiatement refreiné. - Nietzsche : Tu ne bouges surtout pas, laisse toi faire, sinon tu auras droit à une belle fessée. - Vendeur : Quel beau cul, cela donne envie de le manger. - Nietzsche : Ne vous gênez pas. Elle adore cela. Sans autre mot il se mît alors à écarter mes globes fessiers pour insérer sa langue dans mon intimité. Je ne bougeais plus, sentant la honte me gagner mais aussi l'excitation avec cette langue titillant ma vulve puis mon anus. Cet homme était un expert dans les caresses buccales, mais il devait s'en douter car je sentais mon sexe s'humidifier rapidement. C'est à ce moment qu'il sortit son visage de mes fesses, pour le remplacer immédiatement par son sexe qu'il avait avec dextérité libéré prestement ...