Alphonsine
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
fh,
ff,
grosseins,
taille,
Oral
pénétratio,
Auteur: Analphabetix, Source: Revebebe
... J’étais dans un autre monde, je ne comprenais rien à tout ça.
Chez elle, c’était plutôt bizarre, il y avait des tentures partout. Machinalement j’ai jeté un œil dans la pièce d’à côté, une fille était en train de se rhabiller. Et cette fille là, je la connaissais, c’était la grande blonde toute maigre, la squelettique, la copine de Fonfon, celle qui ne pipait jamais un mot.
J’ai regardé tout autour de la pièce, je cherchais un mec, il n’y en avait vraiment aucun, juste cette fille qui était en train de se rajuster et le cuir d’Alphonsine qui traînait négligemment sur la moquette. Tout ça, plus un soutif, une culotte et au moins deux gros godes bien en évidence sur la banquette. J’ai tout de suite fait le rapprochement : c’est ça que j’avais entendu derrière la porte, ces deux salopes en train de se gouiner. Ça m’a tout de suite rassuré, je n’aurais pas aimé qu’il y ait vraiment un mec.
Des rumeurs avaient circulé à la fac comme quoi les trois amies devaient être des disciples de lesbos, rumeurs jamais vérifiées et que j’avais, pour ma part, plus ou moins écartées depuis mon aventure avec ma déménageuse. Pourtant, pour une fois, la rumeur semblait fondée. Je ne savais pas si la troisième femme participait aussi parfois à leurs ébats, mais il y avait de grandes chances.
De savoir qu’Alphonsine aimait aussi se taper des petites minettes, je trouvais ça particulièrement excitant. Décidément, cette fille avait de multiples ressources et des attraits cachés.
Elle ...
... venait de refermer la porte, je me suis retourné vers Fonfon :
— Contente que tu sois venu. Je ne pensais pas que tu viendrais si vite.
Elle semblait vraiment heureuse de me voir, ça transparaissait sur son visage. Ce qui transparaissait également, c’était ses seins énormes qui étaient visiblement sans attache sous un t-shirt trop ample. Elle s’était habillée vite fait, juste pour m’ouvrir la porte et n’avait sans doute pas pris la peine de remettre son soutif et sa culotte. Elle était encore pieds nus, preuve que tout ça s’était fait dans la plus grande précipitation.
— Je suis avec une copine, tu la connais, elle vient de temps en temps à la fac.
Nous avons rejoint la pièce qui faisait office de salon. Entre-temps, la grande souffreteuse avait pris soin de retirer toutes les affaires compromettantes, pour les planquer probablement quelque part. Simplement, elle avait juste oublié une petite chose, un tube de lubrifiant intime qui traînait négligemment sur la moquette. Et puis ce qu’elle n’aurait de toute façon pas pu cacher : cette légère odeur de sexe chaud qui flottait dans l’atmosphère.
— Salut, me dit-elle avec sa froideur habituelle.
— Salut, répondis-je en regardant le tube.
Elle suivit mon regard et devint écarlate. Désormais, elle savait que je savais, et se liquéfia sur place. Elle ne devait pas être du genre à assumer ses fantasmes. Je ne connaissais même pas son nom. Fonfon l’appelait « Bichou ».
— Bichou, tu veux boire quelque chose ?
Et ...