1. COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Mon homme (5/13)


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... s’ouvre, me montrant dans cette position obscène, accroupie sur mon pot de chambre.
    
    • J’ai oublié le papier.
    
    Il me jette le rouleau comme on jette un os à un chien, je devrais dire à une chienne.
    
    Je m’assois, la douleur de mon fessier est remplacée par une douleur de mon anus. Sur le coup, il est entré comme dans du beurre, mais maintenant ma rosette, qui a dû se distendre, me fait un peu mal.
    
    Je coupe une feuille, je me la passe là où ça fait mal.
    
    Le papier est couvert du sperme de mon amant.
    
    J’entre un doigt et me surprends à le sucer.
    
    Qu’est-ce qu’Albert fait de moi ?
    
    Une femme soumise prête à tout pour un moment de plaisir avec lui.
    
    Manger, deuxième envie à satisfaire, je prends le croûton de pain, je le porte à ma bouche, il est dur, plus que dur.
    
    Si je croque, je m’enlève une dent, moi qui à mon âge s’enorgueillit de les avoir toutes en parfait état !
    
    Quand j’étais petite, un jour où j’avais été parfaitement horrible, papa m’avait mise au pain sec et à l’eau pendant deux jours.
    
    Je sais maintenant que pour Albert, laisser échapper un lapinou, c’est très grave.
    
    Je sais comment faire grâce à papa, je trempe le croûton dans l’eau le laisse imbiber et je mange en buvant.
    
    Cette façon de faire me permet de boire sans avoir à laper mon eau.
    
    Bien sûr, je pourrais prendre la gamelle dans ma main et boire, mais comme une grande, j’ai compris qu’une soumise, comme j’aspire à le devenir, doit se comporter comme une chienne si mon homme ...
    ... souhaite que j’en sois une.
    
    Un moment, la vision de Pierre courant dans la montagne me traverse l’esprit, mais je crois que ma décision est prise, je vais le quitter, il faut être con de courir après quelqu’un, fut-ce moi, sans savoir où je suis partie !
    
    Je dois de nouveau dormir, la porte s’ouvre me faisant sursauter, je suis cassée, moi qui ai toujours aimé les matelas bien moelleux.
    
    Derrière le dos d’Albert, je vois qu’il fait jour, Pierre doit courir dans sa montagne depuis vingt-quatre heures.
    
    • Je vois que tu as tout mangé, c’est bien il faut que tu prennes des forces.
    
    Va nourrir les lapins et ramasse les œufs, mets-les en boîte de six, tu les trouveras sur la table près du poulailler, nous irons les vendre au marché d’Aix demain.
    
    Je sors, j’emmène mon papier avec mon pot pour le vider, je dois m’isoler.
    
    Je demanderais bien à Albert où sont les toilettes, mais j’ai très rapidement appris à fermer ma bouche, mon erreur est encore trop fraîche.
    
    Il me fait de nouveau confiance, il m’a demandé de m’occuper des lapinous, je prends mon panier, mon couteau.
    
    Lui, il travaille dans son jardin pendant que je fais ça, je suis contente.
    
    Je coupe un panier de plantes et je vais ouvrir les cages faisant attention que tous restent sagement à l’intérieur.
    
    Pour finir avec les lapinous, je profite de nourrir un gros mâle dans la cage du bas, ce doit être le papa des petits.
    
    Tient, le petit est-il toujours sous la cage ?
    
    Je m’agenouille et je plaque ma ...